Eric Roux, Scientologie


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Eric Roux
Eric Roux
Ministre du culte de L'Eglise de Scientology, après 30 années passées dans le clergé de l'Eglise, Eric Roux est aujourd'hui le président de l'Union des Eglises de Scientology de France et Vice Président du Bureau Européen de L'Eglise de Scientology pour les affaires publiques et les droits de l'homme. Il est aussi administrateur pour l'Europe du Conseil International de URI (United Religions Initiative) et le Président du European Interreligious Forum for Religious Freedom.
Ce blog est une initiative personnelle destinée aux gens qui s'intéressent à la spiritualité, ou à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur la scientology, à ceux qui pensent que la liberté de conscience est un droit fondamental qui mérite d'être défendu, à mes coreligionnaires ou encore à ceux qui sont curieux...

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Sans surprise, la presse révèle aujourd'hui que James Holmes, l'auteur de la fusillade qui a fait douze morts dans un cinéma d'Aurora (Colorado) était suivi par un psychiatre.


Tuerie d'Aurora : James Holmes, produit de la psychiatrie

En fait pas il n'y a pas besoin d'aller à l'étranger pour se rendre compte que la quasi totalité des tueurs en série ou des personnes qui se rendent coupables de crimes atroces et inexplicables sont passés entre les mains de psychiatres. Ce mois-ci, par exemple, le drame de Courchevel (un jeune de 24 ans tue son père et ses deux frères de 8 et 17 ans sans aucune raison) révèle que le jeune homme était passé entre les mains de psychiatres. Et bien que l'on sache aujourd'hui avec certitude que les traitements psychiatriques (drogues psychiatriques, électrochocs ou sismothérapie, etc.) déglinguent les gens plus surement que n'importe quoi d'autre et qu'il est établi qu'ils augmentent les pulsions suicidaires, les idées de meurtre et font perdre à l'individu tout sens du bien et du mal, aucune action n'est entreprise aujourd'hui pour réformer réellement ce secteur catastrophique de notre société et engager la responsabilité des psychiatres qui se rendent coupables des traitements inhumains dont est coutumière la psychiatrie.

 

Alors, on peut attendre que d'autres meurtres atroces et gratuits se produisent encore et encore, en espérant que la répression viendra à bout du fléau (mais c'est le chat qui se mort la queue, parce qu'on compte sur les psychiatres pour réprimer les "fous dangereux", alors que leurs traitements les rendent encore plus fous et dangereux), ou on commence à agir. Une première chose à faire serait de mener des enquêtes à tous les niveaux pour déterminer la responsabilité de la psychiatrie dans les meurtres de ce type. Une enquête parlementaire, une enquête de l'Inspection Générale des Affaires Sociales sur ce sujet précis seraient les bienvenues.

 

Au passage, voici quelques exemples de faits divers (liste non exhaustive qui s'arrête en 2010) qui corroborent les propos précédents :

 

Au mois de juin 2010, Nicolas Cocaign est jugé pour avoir tué son co-détenu et avoir mangé une partie de ses poumons. L’homme avait été jugé en 2006 pour une tentative de viol. En fait il avait été hospitalisé d’office en hôpital psychiatrique par trois fois entre 1997 et 2005. Il n’avait jamais tué ni violé avant d’être passé entre les mains des institutions psychiatriques. source

Début avril 2010 un homme de 28 ans en pousse un autre de 52 ans devant une rame de métro. Ce dernier y laissera la vie. Le pousseur a fait précédemment de longs séjours en psychiatrie, interné dans une unité spécialisée. Avant 2005 il ne connaissait pas la psychiatrie. Il n’avait jamais tué non plus. source

Déjà en février 2010 un homme de 40 ans s’était suicidé en se jetant sous une rame à Paris en en entrainant volontairement un autre dans sa chute. L’enquête a montré qu’il avait subi trois années d’internement psychiatrique avant les faits avec de lourds traitements. Avant, il n’était pas un meurtrier.source

Fin Avril 2010, un homme poignarde à mort un père de famille devant son fils, à Clichy la Garenne. Le meurtrier avait été interné 11 fois entre 2002 et 2008. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Encore en avril 2010, Jean-Jacques Auzeil entend des voix qui lui ordonnent de tuer son propriétaire dans l’Ariège, ce qu’il fait. L’homme sortait d’une hospitalisation d’office en hôpital psychiatrique. Habitué des « soins psychiatriques », il n’avait jamais tué auparavant. source

Toujours en avril 2010, un juif portant la kippa se fait agresser à coups de couteau et de barre de fer à Strasbourg. L’un des deux agresseurs avait auparavant été interné et était sous suivi psychiatrique. Il n’avait jamais tué avant son internement. s ource

Avril 2010 à nouveau. Dans le Tarn, Alexi Bacanov tue le soigneur de l’équipe de rugby de Graulhet, Maurice Brayette. Il était sous traitement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

A Plouescat, le 24 avril 2010, un homme poignarde Guillaume Quemeneur, agé de 24 ans. L’homme suivant un traitement important pour troubles psychiatriques. Il n’avait jamais poignardé auparavant.source

A Brest, le 17 avril 2010, une mère de famille est tuée de 20 coups de couteau, et le père est grièvement blessé. L’enfant meurtrier était sous traitement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le même mois, une jeune fille américaine de 22 ans était agressé à bord du train Paris-Nice. L’agresseur était sous « soins » psychiatriques. source

En janvier 2010, un étudiant chinois tue une secrétaire à l’Université de Perpignan et blesse trois autres personnes sans aucun motif. Il était suivi par des psychiatres et avait déjà été interné à plusieurs reprises. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Fin décembre 2009, un homme suivi à l’hôpital psychiatrique Paul Guiraud avait jeté son enfant de 4 ans du 2e étage de son immeuble à Orly. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Fin 2009, Une mère infanticide, Mme de M., avait été internée à plusieurs reprises avant d’assassiner son enfant à la fin de l’année passée, pour "lui faire un cadeau". Elle avait accumulés les internements en HP, était sous traitement médicamenteux psychiatrique et n’avait jamais tué auparavant.

En octobre 2009, un homme de 28 ans tue un homme et blesse sa propre mère. Il est sous traitement psychiatrique, interné à l’hôpital psychiatrique de Pau, en sortie d’essai. Il n’avait jamais tué avant son internement. source

En juillet 2009, Ludovic Sienni tue une jeune fille, Amel Yahiaoui de 3 coups de couteaux à Saint Etienne. Abruti par des médicaments psychiatriques, il sortait de plusieurs mois d’internement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En juin 2009, Joachim Vaes, 29 ans, tue ses parents à coups de couteau en Belgique. Il était en internement psychiatrique au Centre Saint Amedeus à Morstel. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En mai 2009 à Saint-Gaudens, Jean-Pierre Couarraze, 47 ans, tue sa sœur à coups de fer à repasser. Il a effectué de nombreux séjours en hôpital psychiatrique à Lannemezan. Il n’avait jamais tué auparavant.source

En Mars 2009, François G., 45 ans, tire sur des passants dans le treizième arrondissement de Paris avant de se suicider. Il était sous traitement et suivi à l’hôpital Saint-Anne en psychiatrie. Il n’avait jamais tiré comme cela auparavant. source

En novembre 2008 à Grenoble, un homme de 56 ans poignarde à mort un jeune de 26 ans après s’être échappé d’un hôpital psychiatrique dans lequel il était « traité ». Il n’avait jamais tué auparavant. source

En février 2008 à Marseille, un homme nommé Hocine tue sa mère à coups de marteau. Il est sorti de l’hôpital psychiatrique 2 mois auparavant. Il était un habitué de l’hospitalisation psychiatrique depuis des années. Il n’avait jamais tué avant. source

En septembre 2007 à Epinay, un épicier nommé Eric K. tue un jeune homme, Ali, de plusieurs coups de couteau sans motif apparent. Il avait été interné et traité en Hôpital Psychiatrique 3 ans avant les faits. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le 14 mars 2007, GINO OOGHE, âgé de 54 ans, commet son troisième viol à Château-Thierry. L’homme a connu son premier internement psychiatrique à l’âge de 8 ans. Il n’avait bien entendu jamais tué auparavant. source

le 28 février 2007, Geneviève Lhermitte, égorge ses 5 enfants à Nivelles dans des circonstances abominables. Elle était sous suivi et traitement psychiatrique au moment des faits. Elle n’avait jamais tué auparavant. source

En novembre 2005, un homme de 34 ans tue sa fillette à Vésoul. L’homme était suivi par des psychiatres au moment des faits. Il n’avait jamais tué auparavant. 

En juin 2005, à Cahors, Stéphane Rolla tue son père après avoir tenté de se suicider. Stéphane Rolla était sous suivi psychiatrique depuis un certain temps. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En décembre 2004, Romain Dupuy tue une infirmière et une aide-soignante de l’hôpital psychiatrique de Pau avant de décapiter l’une des deux. Il avait subi deux internements psychiatriques depuis 2003. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le 9 mars 2004, Joël Gaillard tue à la hache Germain Trabuc à Gap. Sa première hospitalisation sous contrainte dans un établissement psychiatrique (Edouard Toulouse) remonte à l’année 2000. Il n’avait jamais tué auparavant. Depuis, il n’avait cessé d’être sous « suivi » psychiatrique. source

Eric Roux
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Psychiatrie et antipsychiatrie

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Mon ami Ivan Arjona, Président de l'Eglise de Scientologie d'Espagne, a publié un entretien avec le Professeur Ferreiro Gualguera, Professeur de droit ecclésiastique à l'Université de La Corogne. Il était jusqu'à il n’y a pas très longtemps Directeur Général Adjoint pour les Relations avec les Confessions Religieuses pour la Promotion et la Coordination de la liberté religieuse au sein du Ministère de la Justice, dans le Gouvernement espagnol.
Il a écrit de nombreux livres et publications sur le sujet de la liberté religieuse et a participé en tant qu’intervenant à énormément de cérémonies au nom de l'Espagne et en tant que professeur d'université.


Entretien Ivan Arjona avec le Professeur Juan Ferreiro
(Source)

- ScientologyHoy : Sur quel projet embrassant le domaine religieux travaillez-vous actuellement ?

- Juan Ferreiro : Sur une étude concernant la liberté religieuse et les relations Eglise-Etat dans les pays où le« Printemps Arabe » a triomphé.

- SH : Quel point de vue avez-vous sur l’exercice actuel de l’égalité en matière de liberté religieuse en Espagne ?

- JF : Il existe une égalité formelle proclamée dans la Constitution, mais pas une égalité réelle dans la conduite des pouvoirs publics, car dans de nombreux cas il y a eu conditionnement par des préjugés qui, comme nous le savons, sont des opinions défavorables par rapport à quelque chose que l’on connaît mal (qui n’est pas compris). Dans tous les cas, l'égalité n'est pas de donner à chacun la même chose mais à chacun ce qui lui appartient, et cet acte qui est de mesurer la proportion doit être exercé avec l'équité la plus délicate qui soit.

- SH : Pensez-vous que les citoyens sont suffisamment conscients du fait que nous vivons dans une société plurielle, pour ce qui du domaine religieux ? 

- JF : Ils sont suffisamment conscients mais il y a de vastes couches de la société qui se laissent influencer par des préjugés. Nous pouvons voir des exemples de cela à chaque fois qu’un groupe de voisins s’opposent à l’ouverture d’un lieu de culte (par exemple des mosquées) même si la réglementation urbanistique est respectée ou quand un groupe religieux est taxé de secte par des citoyens ou par les pouvoirs publics. Si un groupe religieux utilise des moyens ou poursuit des objectifs qui sont illégaux, il s’agit simplement d’un groupe illégal, mais cela doit être prouvé.
De plus, il y a une différence entre le fait que les actes illicites soient commis par un membre de la confession et le fait qu’ils soient commis par le groupe religieux en tant qu’organisation. Dans ce cas seulement il conviendrait d’interdire et de punir cette personne morale. Les abus d’un individu ou de plusieurs n’ont pas à criminaliser le groupe auquel ils appartiennent.

- SH : Pensez-vous que la société actuelle a besoin de mettre davantage son attention sur le spirituel ?

- JF : Oui, d’autant plus en ces périodes de crise où il nous apparaît que le monde est en train de plonger du fait de la réduction des moyens matériels. Le bonheur est fondamentalement en nous et tous les groupes, religieux ou non, qui aident à grandir intérieurement devraient être les bienvenus. 

- SH : Quel rôle joue, selon votre point de vue, le pluralisme religieux dans l’amélioration sociale ?

- JF : Le pluralisme religieux est une réalité aussi évidente que les différences raciales ou psychologiques. L’Etat ne peut que le protéger et le respecter et permettre qu’il se développe, et uniquement dans les voies établies par la loi.

- SH : Que pensez-vous qu’il soit nécessaire de faire de la part des différentes religions pour la société espagnole, compte tenu de la situation globale du pays ?

- JF : Les religions comme les associations, comme les partis politiques devraient davantage se rapprocher de la société et cela implique non seulement une attitude d’écoute mais également une attitude de réelle transparence pour que la société connaisse son vrai visage, pas celui que l’on publie ou que l’on commente. 

- SH : Après avoir vu le clip « Comment nous aidons », qui présente les différentes activités des scientologues à travers le monde, que diriez-vous aux scientologues du monde entier pour qu’ils continuent et multiplient leur efforts ?

- JF : Je crois que toutes les personnes qui consacrent leur temps à aider les autres et surtout à ceux qui se trouvent dans des conditions défavorables sont dignes d’applaudissements et de supports moral, humain et économique. Comme le montre le clip, les scientologues développent des activités d’aide aux prisonniers, d’aide aux drogués, d’enseignement des droits de l’Homme et d’amélioration de l’éducation en collaboration avec des individus que professent d’autres croyances religieuses ou idéologies. Voilà un exemple de pluralisme religieux. Les gens ne le savent pas. Moi je dirais aux scientologues qu’ils fassent un effort pour démontrer ce qu’ils font et clarifier les soupçons qu’a la société les concernant. Et il n’y a pas de meilleure forme d’éclaircissement que d’exposer la vérité avec de la transparence et des faits. 
Eric Roux
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Liberté de conscience

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En ces temps parfois troublés, il n'est pas inutile de rappeler que le mariage est un acte de joie, de bonheur partagé. J'ai souvent le plaisir d'en célébrer. Et j'adore ça.


Mariage au Celebrity Centre
Dans le dernier mariage que j'ai célébré au Celebrity Centre, il y a deux semaines (voir photos), il y avait dans la salle, en plus de la famille et des amis des mariés, un sociologue présent qui fait actuellement une étude sur la scientologie. A la fin de la cérémonie, il est venu me voir pour me donner ses impressions. La première, et c'est celle que j'ai trouvé la plus importante, était qu'il avait été ému. Vous me direz, c'est un peu normal pour un mariage. Mais bon, lorsqu'on fait une étude, même si c'est une étude en sciences "humaines", on n'est pas obligé de ressentir l'émotion liée à des actes qui ne nous engagent pas personnellement. Au delà de cela, la spontanéité de la cérémonie, et l'humour joyeux avec lequel elle se déroule l'ont aussi marqué, m'a-t-il dit.
Voici le texte de l'une des cérémonies de mariage célébrées en scientologie :
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La philosophie religieuse de Scientologie

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