Eric Roux, Scientologie


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Eric Roux
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Ministre du culte de L'Eglise de Scientology, après 30 années passées dans le clergé de l'Eglise, Eric Roux est aujourd'hui le président de l'Union des Eglises de Scientology de France et Vice Président du Bureau Européen de L'Eglise de Scientology pour les affaires publiques et les droits de l'homme. Il est aussi administrateur pour l'Europe du Conseil International de URI (United Religions Initiative) et le Président du European Interreligious Forum for Religious Freedom.
Ce blog est une initiative personnelle destinée aux gens qui s'intéressent à la spiritualité, ou à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur la scientology, à ceux qui pensent que la liberté de conscience est un droit fondamental qui mérite d'être défendu, à mes coreligionnaires ou encore à ceux qui sont curieux...

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Ordonnance psychiatrique du tueur de Nice
Ordonnance psychiatrique du tueur de Nice
Lorsqu'on apprend de la bouche du père du conducteur du camion qui a commis l'irréparable jeudi soir à Nice, que ce dernier était passé par les mains de la psychiatrie, et avait été gavé de drogues psychiatriques, on est en droit de se poser des questions sur les conséquences de ces traitements et drogues psychiatriques. Si c'était la première fois que ce type de liens se présente, alors on pourrait le mettre de coté. Si c'était anecdotique dans l'histoire du massacre des innocents, on pourrait chercher la cause ailleurs. Mais lorsque qu'on se rend compte qu'un dénominateur commun à quasiment tous ces actes barbares est le traitement psychiatrique qui précède l'acte, il est temps de réellement poser les bonnes questions.

En janvier, un article très intéressant, qui posait les bonnes questions, était paru dans le Magazine Rebelle(s) : Le Massacre des innocents : religion ou psychopharmacologie. Je vous le scanne et vous laisse le lire ici :
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Psychiatrie et antipsychiatrie

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13/11/2015
Rebelle(s)
Très franchement, une bonne surprise à découvrir dans les kiosques, le nouveau mag Rebelle(s). Un magazine d'un très bon niveau, avec une qualité d'articles surprenante. Mais surtout, je vous fais le cadeau de la première page de leur article "Les Enfants, Victimes de la Psychiatrie" :
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Psychiatrie et antipsychiatrie

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Petit reportage aux infos de Vosges Télévision sur la croisade à vélo de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme de cette année.
Edit du 2 septembre 2013 : La vidéo n'étant plus disponible, je vous en mets une reprenant l'ensemble des médias qui ont couvert cette croisade 2013 :



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Psychiatrie et antipsychiatrie

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03/05/2013

Dans l'émission de Frédéric Taddei de Vendredi dernier, il était question de santé mentale et des dérives du DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders), un livre dont la marque appartient à l'APA (Association Psychiatrique Américaine) et qui recense les "troubles mentaux". Un extrait de l'un des films produits par la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme a été diffusé.


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Adam Lanza : encore un tueur en série produit de la psychiatrie
Après James Holmes, voici Adam Lanza, le tueur du drame de Newton, qui couta la vie à 26 personnes (une majorité d'enfants), dont on apprend qu'il était sous Fanapt, un antipsychotique dont les effets secondaires catastrophiques sont pourtant bien connus. Il était aussi suivi par des psychiatres et avait subi plusieurs internements forcés, qu'il décrivait comme étant "l'enfer". Un excellent article cette semaine sur Atlantico.fr, avec une interview de Nicole Delepine, Auteur de la Face cachée des médicaments.

Le début de l'article :

Si la fusillade de Newtown a relancé le débat sur les armes à feu, elle a aussi soulevé le problème des antipsychotiques. Le meurtrier, Adam Lanza, était sous Fanapt, un médicament controversé aux effets secondaires particulièrement lourds : agressivité, paranoïa, délire ou encore crises de panique.

L'épouvantable drame de l’école américaine de Sandy Hook dans laquelle 26 personnes trouvèrent la mort de la main d’un tueur fou invite une nouvelle fois à poser deux questions : celle des armes en liberté aux Etats-Unis, débat amplement réabordé par le pouvoir américain et la deuxième, celle du rôle au moins favorisant des traitements médicamenteux absorbés par nombre de ces tueurs.

En effet, le Fanapt, drogue acceptée par la Food and Drug administration (FDA) depuis 2009 était très controversée bien avant le drame de Sandy Hook. Au-delà des effets secondaires de type cardiaque, les effets indésirables signalés avec le médicament du jeune Adam étaient l’agitation et l’agressivité. Les accès maniaques ou de paranoïa avaient été rapportés ainsi que des désordres compulsifs, des impulsions incontrôlables et des dépressions profondes.

Initialement rejeté par la FDA, l’organisme qui autorise la commercialisation aux Etats-Unis, le Fanapt a été repris par une autre société et finalement commercialisé car les effets indésirables ont été estimés "non fréquents".

"Ils existent et ne peuvent être oubliés" comme  le souligne un article récent du New York magazine. Les effets délétères induits par ce médicament sont souvent ceux que l’on voulait contrôler chez ce patient : "un comportement de type psychotique, entrainant des troubles relationnels dans les interactions sociales dans le spectre autistique".

Atlantico : Sur le marché français, existe-t-il des antipsychotiques dangereux ? Lesquels ?


Nicole Delépine : Tous les antipsychotiques sont potentiellement dangereux comme d’ailleurs la plupart des médicaments qui ont une efficacité. Le problème comme toujours en médecine est de peser le risque versus efficacité. Si un patient a vraiment besoin d’une drogue (autre mot pour nommer un médicament qui montre d’emblée qu’aucun n’est anodin), il faudra la lui donner. Mais il importe de ne prescrire les médicaments que contraints et forcés, ce qui aux Etats-Unis comme dans notre pays n’est pas le cas. Le mythe de la pilule miracle qui va tout arranger reste fortement ancré.

Les antipsychotiques (neuroleptiques) tentent de soigner les symptômes du patient mais ils ne guérissent pas et entrainent eux-mêmes souvent directement des troubles. Les malades se plaignent de troubles de la concentration et de l’impossibilité de conduire ou de travailler normalement. Leurs proches notent des anomalies de leur comportement qui n’est plus le même. De plus les nouveaux antipsychotiques entrainent des troubles métaboliques majeurs avec prise de poids. Beaucoup de conséquences très négatives qui font qu'ils sont rejetés par de nombreux psychiatres.

En quoi les antipsychotiques constituent-ils un danger ? Pour quels types de patients sont-ils les plus dangereux ?


Des millions de Français avalent chaque jour leurs pilules qui les prédisposent à l’accident de voiture et à l’agressivité et correspondent à au moins un milliard d’euros de dépenses pour l’assurance maladie. D’après Chatelin 50% des médicaments altèrent les facultés au volant, 10% des accidentés de la route ont un psychotrope dans le sang. Toute molécule qui a des effets sédatifs multiplie le risque d’accidents de deux à cinq fois.

L’observatoire français de drogues et toxicomanies publie sur son site les chiffres suivants : 8,9 millions d’usagers occasionnels et 3,8 millions de réguliers sur la population française de 12-75 ans. A 14-15 ans, l'expérimentation de médicaments psychotropes se révèle déjà élevée puisque 20% des adolescents déclarent en avoir consommé au moins une fois au cours de leur  vie. Les principaux types de médicaments consommés au cours de l’année sont les anxiolytiques (7%), les somnifères (7%) et les antidépresseurs (6%). Si globalement toutes les consommations augmentent avec l’âge, seuls les somnifères croissent continûment jusqu’à 75 ans, les deux autres classes thérapeutiques connaissant un recul au-delà de 55 ans. Au-delà de 70 ans, une personne sur deux serait sous psychotropes alors que le danger est particulièrement élevé chez le sujet âgé (chute à répétitions qui diminue l’espérance de vie etc.).

Si certains sont sérieusement malades et nécessitent un traitement qui devrait s’associer à une interdiction de conduire et un suivi rapproché, la plupart d’entre eux ne nécessitent pas cette prise régulière de médicaments qui altèrent leur fonctionnement cérébral. Les antipsychotiques se sont répandus comme une trainée de poudre depuis leurs découvertes dans les années 1960. Le marketing a alors transformé les émotions normales en "maladies" et inciter les humains à se transformer en machine à avaler des drogues.On a "médicalisé" les émotions pour créer un gigantesque marché. Les deuils, les contrariétés, la timidité, la peur de parler en public ou au contraire l’agitation transformée en "hyperactivité" sont devenus des affections médicales que l’on devrait traiter.

La manipulation marchande a transformé les affections du psychisme en maladies "organiques" susceptibles de recevoir des drogues multiples. Les essais cliniques avec tirage au sort ont envahi le domaine des émotions comme celui de la cancérologie. L’exercice de la psychiatrie et de la psychologie a été décimé. L’asile chimique a envahi notre vie avec ses conséquences encore sous estimées. Pour les enfants dits "turbulents" autrefois à l’aise dans les champs et les forêts on a inventé "l’hyperactivité" dont la fréquence serait de 10% et la pilule adéquate ! Près de 8 millions d’écoliers, de collégiens et de lycéens de 3 à 20 ans prennent  aux Etats-Unis des antidépresseurs ou des calmants, notamment de la Ritaline, une molécule à base d’amphétamines dont la consommation a explosé depuis dix ans outre-Atlantique. Aux Etats-Unis, les psychiatres, les laboratoires n’ont cessé de promouvoir ce médicament qui aurait un effet pacifiant sur les enfants hyperactifs, dont il améliorerait la concentration. Des enseignants ont pris l’habitude d’inciter les parents à consulter un psychologue voire un psychiatre au moindre écart. Cette démarche débouche en général sur une prescription de Ritaline. Aux Etats-Unis, elle est devenue quasi obligatoire en cas de diagnostic d'"hyperactivité", car conditionne le paiement des aides accordées par l’Etat aux élèves en difficulté.

En France, 7 000 à 10 000 enfants seraient sous Ritaline. Le danger rôde et il faut être vigilant ! C’est la tentative récente de l’Inserm, pour l’instant avortée grâce au collectif  "pas de zéro de conduite pour les enfants de 3 ans" de dépister puis de traiter, évidemment par le bonbon Ritaline, "tous les délinquants potentiels". Il a fallu une large pétition sur internet (196 348 signatures au 28/02/11) pour faire avorter le projet national de dépistage systématique des troubles comportementaux des jeunes enfants dès la maternelle et de leur traitement médicamenteux "pour résoudre le problème social de la délinquance". Le rapport de l’INSERM sur "le trouble des conduites chez l’enfant et l’adolescent" recommande un dépistage dès l’âge de trente-six mois du syndrome d’hyperactivité ! Les laboratoires poussent  à la consommation et cherchent à envahir l’Europe ! 

Lire la suite ici : http://www.atlantico.fr/decryptage/crises-folie-meurtriere-ces-antipsychotiques-dangereux-et-insuffisamment-controles-nicole-delepine-588975.html

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Extrait du nouvel album du rappeur Atomik :


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La croisade à vélo annuelle de la CCDH contre les abus de la psychiatrie a commencé, France 3 Ile de France relatait le premier arrêt aujourd'hui.


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Sans surprise, la presse révèle aujourd'hui que James Holmes, l'auteur de la fusillade qui a fait douze morts dans un cinéma d'Aurora (Colorado) était suivi par un psychiatre.


Tuerie d'Aurora : James Holmes, produit de la psychiatrie

En fait pas il n'y a pas besoin d'aller à l'étranger pour se rendre compte que la quasi totalité des tueurs en série ou des personnes qui se rendent coupables de crimes atroces et inexplicables sont passés entre les mains de psychiatres. Ce mois-ci, par exemple, le drame de Courchevel (un jeune de 24 ans tue son père et ses deux frères de 8 et 17 ans sans aucune raison) révèle que le jeune homme était passé entre les mains de psychiatres. Et bien que l'on sache aujourd'hui avec certitude que les traitements psychiatriques (drogues psychiatriques, électrochocs ou sismothérapie, etc.) déglinguent les gens plus surement que n'importe quoi d'autre et qu'il est établi qu'ils augmentent les pulsions suicidaires, les idées de meurtre et font perdre à l'individu tout sens du bien et du mal, aucune action n'est entreprise aujourd'hui pour réformer réellement ce secteur catastrophique de notre société et engager la responsabilité des psychiatres qui se rendent coupables des traitements inhumains dont est coutumière la psychiatrie.

 

Alors, on peut attendre que d'autres meurtres atroces et gratuits se produisent encore et encore, en espérant que la répression viendra à bout du fléau (mais c'est le chat qui se mort la queue, parce qu'on compte sur les psychiatres pour réprimer les "fous dangereux", alors que leurs traitements les rendent encore plus fous et dangereux), ou on commence à agir. Une première chose à faire serait de mener des enquêtes à tous les niveaux pour déterminer la responsabilité de la psychiatrie dans les meurtres de ce type. Une enquête parlementaire, une enquête de l'Inspection Générale des Affaires Sociales sur ce sujet précis seraient les bienvenues.

 

Au passage, voici quelques exemples de faits divers (liste non exhaustive qui s'arrête en 2010) qui corroborent les propos précédents :

 

Au mois de juin 2010, Nicolas Cocaign est jugé pour avoir tué son co-détenu et avoir mangé une partie de ses poumons. L’homme avait été jugé en 2006 pour une tentative de viol. En fait il avait été hospitalisé d’office en hôpital psychiatrique par trois fois entre 1997 et 2005. Il n’avait jamais tué ni violé avant d’être passé entre les mains des institutions psychiatriques. source

Début avril 2010 un homme de 28 ans en pousse un autre de 52 ans devant une rame de métro. Ce dernier y laissera la vie. Le pousseur a fait précédemment de longs séjours en psychiatrie, interné dans une unité spécialisée. Avant 2005 il ne connaissait pas la psychiatrie. Il n’avait jamais tué non plus. source

Déjà en février 2010 un homme de 40 ans s’était suicidé en se jetant sous une rame à Paris en en entrainant volontairement un autre dans sa chute. L’enquête a montré qu’il avait subi trois années d’internement psychiatrique avant les faits avec de lourds traitements. Avant, il n’était pas un meurtrier.source

Fin Avril 2010, un homme poignarde à mort un père de famille devant son fils, à Clichy la Garenne. Le meurtrier avait été interné 11 fois entre 2002 et 2008. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Encore en avril 2010, Jean-Jacques Auzeil entend des voix qui lui ordonnent de tuer son propriétaire dans l’Ariège, ce qu’il fait. L’homme sortait d’une hospitalisation d’office en hôpital psychiatrique. Habitué des « soins psychiatriques », il n’avait jamais tué auparavant. source

Toujours en avril 2010, un juif portant la kippa se fait agresser à coups de couteau et de barre de fer à Strasbourg. L’un des deux agresseurs avait auparavant été interné et était sous suivi psychiatrique. Il n’avait jamais tué avant son internement. s ource

Avril 2010 à nouveau. Dans le Tarn, Alexi Bacanov tue le soigneur de l’équipe de rugby de Graulhet, Maurice Brayette. Il était sous traitement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

A Plouescat, le 24 avril 2010, un homme poignarde Guillaume Quemeneur, agé de 24 ans. L’homme suivant un traitement important pour troubles psychiatriques. Il n’avait jamais poignardé auparavant.source

A Brest, le 17 avril 2010, une mère de famille est tuée de 20 coups de couteau, et le père est grièvement blessé. L’enfant meurtrier était sous traitement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le même mois, une jeune fille américaine de 22 ans était agressé à bord du train Paris-Nice. L’agresseur était sous « soins » psychiatriques. source

En janvier 2010, un étudiant chinois tue une secrétaire à l’Université de Perpignan et blesse trois autres personnes sans aucun motif. Il était suivi par des psychiatres et avait déjà été interné à plusieurs reprises. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Fin décembre 2009, un homme suivi à l’hôpital psychiatrique Paul Guiraud avait jeté son enfant de 4 ans du 2e étage de son immeuble à Orly. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Fin 2009, Une mère infanticide, Mme de M., avait été internée à plusieurs reprises avant d’assassiner son enfant à la fin de l’année passée, pour "lui faire un cadeau". Elle avait accumulés les internements en HP, était sous traitement médicamenteux psychiatrique et n’avait jamais tué auparavant.

En octobre 2009, un homme de 28 ans tue un homme et blesse sa propre mère. Il est sous traitement psychiatrique, interné à l’hôpital psychiatrique de Pau, en sortie d’essai. Il n’avait jamais tué avant son internement. source

En juillet 2009, Ludovic Sienni tue une jeune fille, Amel Yahiaoui de 3 coups de couteaux à Saint Etienne. Abruti par des médicaments psychiatriques, il sortait de plusieurs mois d’internement psychiatrique. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En juin 2009, Joachim Vaes, 29 ans, tue ses parents à coups de couteau en Belgique. Il était en internement psychiatrique au Centre Saint Amedeus à Morstel. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En mai 2009 à Saint-Gaudens, Jean-Pierre Couarraze, 47 ans, tue sa sœur à coups de fer à repasser. Il a effectué de nombreux séjours en hôpital psychiatrique à Lannemezan. Il n’avait jamais tué auparavant.source

En Mars 2009, François G., 45 ans, tire sur des passants dans le treizième arrondissement de Paris avant de se suicider. Il était sous traitement et suivi à l’hôpital Saint-Anne en psychiatrie. Il n’avait jamais tiré comme cela auparavant. source

En novembre 2008 à Grenoble, un homme de 56 ans poignarde à mort un jeune de 26 ans après s’être échappé d’un hôpital psychiatrique dans lequel il était « traité ». Il n’avait jamais tué auparavant. source

En février 2008 à Marseille, un homme nommé Hocine tue sa mère à coups de marteau. Il est sorti de l’hôpital psychiatrique 2 mois auparavant. Il était un habitué de l’hospitalisation psychiatrique depuis des années. Il n’avait jamais tué avant. source

En septembre 2007 à Epinay, un épicier nommé Eric K. tue un jeune homme, Ali, de plusieurs coups de couteau sans motif apparent. Il avait été interné et traité en Hôpital Psychiatrique 3 ans avant les faits. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le 14 mars 2007, GINO OOGHE, âgé de 54 ans, commet son troisième viol à Château-Thierry. L’homme a connu son premier internement psychiatrique à l’âge de 8 ans. Il n’avait bien entendu jamais tué auparavant. source

le 28 février 2007, Geneviève Lhermitte, égorge ses 5 enfants à Nivelles dans des circonstances abominables. Elle était sous suivi et traitement psychiatrique au moment des faits. Elle n’avait jamais tué auparavant. source

En novembre 2005, un homme de 34 ans tue sa fillette à Vésoul. L’homme était suivi par des psychiatres au moment des faits. Il n’avait jamais tué auparavant. 

En juin 2005, à Cahors, Stéphane Rolla tue son père après avoir tenté de se suicider. Stéphane Rolla était sous suivi psychiatrique depuis un certain temps. Il n’avait jamais tué auparavant. source

En décembre 2004, Romain Dupuy tue une infirmière et une aide-soignante de l’hôpital psychiatrique de Pau avant de décapiter l’une des deux. Il avait subi deux internements psychiatriques depuis 2003. Il n’avait jamais tué auparavant. source

Le 9 mars 2004, Joël Gaillard tue à la hache Germain Trabuc à Gap. Sa première hospitalisation sous contrainte dans un établissement psychiatrique (Edouard Toulouse) remonte à l’année 2000. Il n’avait jamais tué auparavant. Depuis, il n’avait cessé d’être sous « suivi » psychiatrique. source

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Réalisé par la Commission de Citoyens et des Droits de l'Homme.


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Chill E-B est un rappeur extraordinaire dont j'ai déjà parlé. Voici son dernier clip "define better". Ce qui veut dire en gros qu'il voudrait bien savoir ce que les psychiatres entendent par "mieux" quand ils disent que leurs patients vont "mieux" et qu'en fait ils les ont détruit à coups de neuroleptiques. Bon clip :


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Le Déchainé, c'est le nouveau journal de la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme, cette association cofondée par le professeur émérite en psychiatrie Thomas Szasz et l'Église de scientologie en 1969. Numéro fort intéressant et révélant des choses bien inquiétantes...


Sortie du Déchainé numéro 6
Téléchargez le numéro 6 du déchainé en version pdf et régalez-vous :
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Article du Parisien mentionnant la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme, fondée en 1969 par l'Eglise de Scientologie et le Psychiatre émérite Thomas Szasz.


2 psychiatres de Saint-Anne condamnés
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Manifestation contre le projet de loi psychiatrique
Samedi 30 avril, près de 1000 personnes ont défilé à Paris de Montparnasse à Saint-Michel, sous la bannière de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme. Le but, dénoncer les abus psychiatriques et l'ineptie du projet de loi sur la psychiatrie qui va être débattu sous peu au Sénat.

Images :
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C'est le rappeur Californien Chill E.B.  qui vient de faire paraître ce clip de la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme, dénonçant les abus de prescription de "médicaments" psychiatriques pour des "maladies" inventées pour faire booster les ventes des labos pharmaceutiques, telles que le fameux TADH (Trouble Deficit de l'Attention Hyperactivité).
Chill E.B., qui est connu pour être le premier musicien de hip-hop à avoir été accompagné par un orchestre philharmonique (celui de Californie), a reçu le prix de la Paix de Californie pour ses actions humanitaires. Il a été aussi finaliste pour le prix Martin Luther King.

La Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme a été fondée en 1969 par le psychiatre émérite Thomas Szasz et l'Eglise de Scientologie pour lutter contre les atteintes aux droits de l'Homme dans le milieu psychiatrique.
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Petit coup de gueule sur le monde psychiatrique qui nous refait le coup du LSD...

Ces jours-ci, on essaye de nous faire croire qu'une équipe de "chercheurs" en psychiatrie vient de découvrir que le LSD et la Kétamine pouvaient avoir des effets bénéfiques sur les patients atteints de dépression. Un scoop formidable ! Sauf que depuis les débuts du LSD les psychiatres ont tenté la même supercherie en continu, comme nous allons le voir.

Avant d'aller plus loin, il vous faut bien comprendre ce que cela implique. Il ne s'agit pas d'une anecdote sur le chemin de la psychiatrie. Depuis plusieurs années, les psychiatres nous font croire que 9 millions de français vont être atteint de dépression. Ce qui veut dire que si l'on suit leur raisonnement, on se retrouvera avec 9 millions de français sous kétamine ou LSD, ou les deux...

La kétamine est un puissant anesthésiant utilisé sur les chevaux. Elle est utilisée comme drogue aussi, avec des effets spectaculaires autant que dangereux. Elle est connue pour provoquer des troubles hallucinatoires, des amnésies complètes, des pertes d'identité et de contact avec la réalité. Bref, c'est une drogue qui rend fou. De nombreux cas d'installation définitive de cette folie (sans aucun retour en arrière) ont été rapportés. Sans parler des troubles respiratoires, des nausées, des migraines et même des comas qu'elle peut produire. Lors de la guerre du Vietnam, on avait donné cette drogue aux soldats américains mais les troubles psychiatriques qu'elle créa furent tels que le programme fut arrêté.

Le LSD est une drogue hallucinogène extrèmement dangereuse. La molécule qui le compose a été synthétisé en premier lieu par le laboratoire pharmaceutique Sandoz (aujourd'hui Novartis) en 1938. Dès les années 40 le milieu psychiatrique s'en empare et multiplie les prescriptions systématiques sur l'homme, en prétendant que cela aidait la thérapie psychiatrique.

En fait le LSD est connu pour provoquer de graves troubles psychiatriques, une seule prise pouvant entraîner ces troubles à vie.

La CIA s'en servira pour expérimenter des techniques de contrôle mental dès 1951 (les archives relatant ces expériences sont maintenant publiques), avec l'aide du laboratoire Eli Lilly dès 1954.

Le psychiatre Donald Ewen Cameron travaillera pour les services secrets américains afin que le LSD soit utilisé pour produire un "lavage de cerveau".

La psychiatrie continuera de pousser l'usage du LSD depuis cette époque.

Le psychologue Timothy Leary deviendra même le "pape du LSD" dans les années 60, allant jusqu'à prôner la nécessité de déverser du LSD dans les canalisation d'eau des grandes villes pour faire "bénéficier" toute la population des "bienfaits" du LSD..

Aujourd'hui, c'est la même rengaine. Ce sont des psychiatres suisses, se présentant comme scientifiques (qu'ils ne sont pas), qui prétendent avoir mené des expériences sur des rats (véridique), les ayant convaincu que le LSD et la kétamine auraient des effets bénéfiques sur la dépression. 

La justification habituelle (comme exprimée par des psychiatres de Yale aux USA récemment) est que cela aurait un effet de reconnection entre les neurones. Ce qui est absolument impossible à prouver bien entendu, et qui ressemble étrangement à la prétention qu'ils ont de nous faire croire que l'électrosismothérapie (nouveau nom marketing pour le vieil électrochoc) pourrait aussi bousculer les neurones au point de les connecter. Ca ressemble à "si je lui colle une gifle, ça va lui remettre les idées d'aplomb", mais ça fait plus de dégats qu'une gifle. Pauvre "science".

Alors, malveillance ou stupidité ? Après 70 ans d'expériences psychiatriques à base de LSD sur des humains, sortir une nouvelle étude, fut-elle suisse, pour pousser encore l'usage de LSD sur les populations, j'appelle ça de la malveillance, sans circonstances atténuantes.

Quant à ceux qui gobent encore ces billevesées à prétention scientifique, j'opte pour la deuxième option... pour un temps seulement.

PS : C'est contre cette malveillance et cette stupidité que les scientologues se battent depuis 60 ans. Un jour, j'aimerai bien qu'on puisse passer à autre chose. Mais il faut croire que la psychiatrie ne se réforme pas. Et on ne peut pas compter sur nous pour abandonner en chemin. La persévérance est une qualité que nous assumons parfaitement. Parce qu'on ne peut pas laisser des fous mettre une population sous drogue sans réagir, à moins d'être fou soi-même, et de ne pas aimer ses enfants.
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L'observatoire International des Prisons contre la contention psychiatrique
Aujourd'hui, l'Observatoire International des prisons parlait d'un homme qui était resté attaché dans un hôpital psychiatrique, le Centre Hospitalier de Lens, pendant déjà 15 jours. Cette contention consistant à l'attacher par chaque membre et aussi au niveau du ventre, sans aucune possibilité de mouvement, et ce sans interruption d'aucune sorte.

Si cette pratique est en fait une pratique courante de la psychiatrie, l'Observatoire International des Prisons rappelle que :

Nul ne peut être soumis à la torture ni à des peines ou traitements inhumains ou dégradants (article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme)

Le Comité européen pour la prévention de la torture et des peines ou traitements inhumains ou dégradants (CPT) considère que si, exceptionnellement, des moyens de contention physique sont appliqués, ceux-ci doivent être ôtés dès que possible. Ils ne doivent jamais être appliqués, ni leur application être prolongée, à titre de sanction.

Le CPT a parfois rencontré des patients psychiatriques soumis à la contention physique pendant des jours, et souligne qu’un tel état de choses ne peut avoir aucune justification thérapeutique et, à [son] avis, s’apparente à un mauvais traitement(Normes du CPT, 2006)

L’article L3211-3 du code de santé publique dispose que lorsqu’une personne atteinte de troubles mentaux est hospitalisée sans son consentement [...], les restrictions à l’exercice de ses libertés individuelles doivent être limitées à celles nécessitées par son état de santé et la mise en oeuvre de son traitement. En toutes circonstances, la dignité de la personne hospitalisée doit être respectée et sa réinsertion recherchée.

La circulaire du 29 mai 1998 de l’administration pénitentiaire considère qu’« une politique de prévention n’est légitime et efficace que si elle cherche, non à contraindre le détenu à ne pas mourir, mais à le restaurer dans sa dimension de sujet et d’acteur de sa vie ».



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Du danger de la réforme psychiatrique
La France a un problème.

Ces temps-ci doit se discuter en conseil des ministres un projet de loi tendant à transformer la loi de 1990 sur les hospitalisations sous contraintes.

Un projet de loi peu connu qui fait froid dans le dos.

Depuis quelques mois, les médias nous assènent des faits divers impliquant des "fous dangereux" qui tuent sans motifs. Personne ou presque ne semble remarquer que tous ces fous dangereux sont en fait tous passés par des "traitements" psychiatriques lourds, internements, électrochocs et camisole chimique. Le B.A.BA de la logique nous ferait nous poser la question de l'effet réel de ces traitements, puisque avant le traitement, ces gens ne tuent pas, et après le traitement ils tuent (d'ailleurs cela a été déjà pointé du doigt à plusieurs reprises par de nombreux médecins depuis le massacre de Colombine aux Etats-unis, perpétré par un adolescent sous traitement psychiatrique).

Mais la logique n'est pas de mise aujourd'hui.

Le nouveau projet de loi va d'abord élargir le concept d'hospitalisation sous contrainte à des "soins ambulatoires sous contrainte". Ce qui veut dire que même s'il n'y a plus de lits dans l'asile, on peut vous obliger à recevoir des "soins" (camisole chimique, électrochocs) tout en restant chez vous, avec possibilité de faire appel à la force publique en cas de non présentation pour les soi-disant "soins".

Mais cela ne suffit pas. Alors qu'aujourd'hui il faut 2 certificats de psychiatres pour permettre un internement sous contrainte, la nouvelle loi prévoit qu'un seul certificat sera suffisant.

Et pour couronner le tout, alors qu'aujourd'hui, il faut la signature d'un tiers (c'est à dire un membre de votre famille par exemple) ou d'un préfet pour que vous soyez interné contre votre gré, avec la nouvelle loi le psychiatre pourra se passer du tiers s'il l'estime nécessaire.

Bref, vous l'avez compris, la chasse au "fou" est ouverte, et cette loi ouvre la porte à la possibilité de mettre une population sous "traitement" sans passer par le pouvoir judiciaire.

Ce qui est quand même un problème pour la France, puisque cela va à l'encontre de notre constitution, que malheureusement nous sommes de moins en moins nombreux à connaitre. Parce que notre constitution stipule que la privation de liberté ne peut se faire arbitrairement, et que c'est le pouvoir judiciaire qui est le garant de ce principe.

Même si dans le cas d'une hospitalisation sous contrainte, le recours devant le procureur est possible, il n'est fait qu'à posteriori. Et cela est une violation de nos principes constitutionnels. De plus, si vous faites la demande au bout des trois jours premiers ou vous avez été interné d'office, après avoir été gavé de drogues psychiatriques, il y a peu de chances que vous soyez encore dans un état où vous serez crédible.

C'est aussi la seule exception qui permette d'enfermer quelqu'un sans qu'il ait enfreint la loi. Juste sur une décision arbitraire. Si cela est bien entendu déjà le cas maintenant, la nouvelle loi va renforcer l'arbitraire.

Je vous conseille de lire un excellent site ici , créé par un psychiatre très intelligent avec qui j'ai eu le plaisir de discuter un peu, et qui a analysé le problème après toute une vie passée au sein des institutions psychiatriques.

Il montre parfaitement bien comment la psychiatrie est une arme de l'exécutif plutôt qu'une branche de la médecine, et comment c'est finalement l'article 122-1 du nouveau code pénal (avec son ancêtre existant dans le code Napoléon) qui est à la source du problème.

En effet, cet article empêchant une condamnation pour une personne dont la raison est abolie au moment des faits, oblige à trouver une solution, tout en violant le principe de l'égalité de tous devant la justice. Le "fou" échappe à la justice, ou plutôt se voit dénier le droit à la justice, pour tomber entre les mains d'un pouvoir arbitraire, celui de la psychiatrie, dans des conditions de détention bien pires que celles de la prison.

Et ensuite on en arrive à l'aberration que même sans avoir rien fait de répréhensible, une personne considérée comme folle (par qui ?) peut être enfermée, sans espoir de justice.

Et pendant ce temps-là, les contrôles obligatoires que doivent effectuer tous les 6 mois le préfet ou son représentant, le juge du tribunal d'instance, le président du tribunal de grande instance ou son délégué, le maire de la commune ou son représentant et, au moins une fois par trimestre, le procureur de la République, pour s'assurer des conditions de détention des patients dans les hôpitaux psychiatriques, ne sont pas faites.

Je vous conseille de vous rendre sur le site de la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme, fondée en 1969 par le psychiatre émérite Thomas Szasz et l'Église de Scientologie afin de lutter contre les abus psychiatriques, pour en savoir plus.

Eric Roux
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Psychiatrie et antipsychiatrie

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Nouveau DVD produit par la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme. La vérité sur les collusions psychiatriques et pharmaceutiques, et les campagnes marketing des lobbies. Introduction du DVD :


Pour plus d'infos sur le DVD contactez http://ccdh.asso.fr/
Eric Roux
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Le laboratoire Eli Lilly a plaidé coupable de ses activités criminelles et a été condamné à la plus grosse amende jamais donnée par un tribunal américain. 1 milliard 420 millions de dollars. Une première mondiale et une victoire dans un combat qui n'est pas encore gagné.


Le laboratoire Eli Lilly condamné pour activités criminelles sur les enfants

Eli Lilly, c'est le fameux laboratoire pharmaceutique qui fabrique et commercialise le Prozac depuis des années.

Sauf que c'est pour la commercialisation du Zyprexa qu'Eli Lilly a été condamné hier. Le laboratoire a plaidé coupable pour "conduite criminelle" suite à une investigation criminelle et civile sur la commercialisation de la drogue psychiatrique Zyprexa.

Ce "médicament" a été reconnu comme favorisant le suicide et la violence chez les enfants.

Le tribunal a reçu les preuves que le Zyprexa causait des troubles neurologiques sévères, du diabète, des attaques cardiaques, et parfois la mort.

Eli Lilly a été condamné pour avoir organisé des campagnes de marketing pour le Zyprexa orientées vers les enfants et les personnes du troisième âge, alors que les preuves de sa toxicité étaient manifestes, et les preuves de son efficacité inexistantes.

Son utilisation était même poussée dans les écoles comme calmant pour les enfants.

Une décision de justice qui fait date et laisse à penser que tout n'est pas sans espoir face aux lobbies des drogues psychiatriques.

Pour en savoir plus sur les lobbies psychiatriques et pharmaceutiques, voir la vidéo Laboratoires, psychiatrie et antidépresseurs : profits macabres

Pour ceux qui parlent l'anglais, voici l'annonce de la nouvelle sur Fox News :

Eric Roux
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Psychiatrie et antipsychiatrie

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Marc Bonnant, l'un des plus grands avocats du barreau genèvois, bien souvent invité des radios et télévisions françaises car on aime sa verve, donnait à Jacques Pradel son avis sur les experts-psychiatres, un monde qu'il lui faut bien côtoyer dans les tribunaux. Il était accompagné de l'écrivain François Rivière. Voici un extrait de l'émission :



Le 7 janvier 2009 dans l'émission "Café crimes" :


Jacques Pradel : (en parlant d'une affaire) Peut-être avez-vous assisté aux témoignages des experts psychiatres, qu'est-ce qu'ils disaient ?

Marc Bonnant : Il faut peut-être que je vous dise qu'à titre personnel j'ai en aversion les psychiatres, et quand ils sont experts encore plus. Je pense que ce n'est pas une discipline, que ce n'est pas une science, que c'est un art très approximatif, donc un art de l'approximation. Les psychiatres sont des faiseurs (personnes qui cherchent à se faire valoir, à se donner une importance excessive) qui donnent à penser avec des jeux de vocabulaire qu'ils ont une maitrise de l'âme des hommes. Ils n'ont aucune vision, et aucune intuition.

Un peu plus tard...

François Rivière : Je suis en partie d'accord avec Marc Bonnant, parce qu'effectivement, il y a tellement eu d'erreurs, tellement d'appréciations, de choses qui avaient l'air décisives et qui se sont avérées complètement fausses dans ce domaine qu'on peut effectivement douter de la...

Jacques Pradel : Il y a matière à en parler en tout cas.

Marc Bonnant : Je suis arrivé à la conclusion que le psychiatre avait une responsabilité restreinte. La responsabilité c'est la faculté de vouloir et de se déterminer d'après cette appréciation de l'acte, et donc l'expert, un homme de bien sans aucun doute... Comprenez, un avocat qui voit un expert, c'est comme deux aruspices (dans l'antiquité, prêtre qui lisait l'avenir dans les entrailles des victimes) qui se rencontrent. Je ne peux pas ne pas rire, parce que je crois savoir ce qu'on peut faire avec les mots, mais simplement, l'avocat fait des choses avec les mots en ironisant sur son propre savoir. L'expert (psychiatre) fait des choses avec des mots en donnant à penser que c'est un savoir révélé. C'est en ça que lui est un imposteur et l'avocat un artisan.

Pour écouter l'extrait de l'émission :
Eric Roux
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La Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme, co-fondée par le psychiatre Thomas Szasz et l'Eglise de Scientologie, a réalisé ce documentaire saisissant dévoilant le scandale de la collusion entre la psychiatrie et les laboratoires pharmaceutiques. Tout y est.


Me contacter pour se procurer le DVD.
Eric Roux
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