
Ce blog est une initiative personnelle destinée aux gens qui s'intéressent à la spiritualité, ou à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur la scientology, à ceux qui pensent que la liberté de conscience est un droit fondamental qui mérite d'être défendu, à mes coreligionnaires ou encore à ceux qui sont curieux...




Puis Sid Ikeda, co-fondateur du Conseil multiculturel canadien, a évoqué les nombreuses actions de l’Eglise en faveur de la collectivité dans l’Ontario : “Je vous ai croisés dans la ville, en train d’aider tous ceux que vous rencontrez, tous les jours. Et c’est pourquoi je vous apprécie profondément, vous et ce que vous apportez à la société. L’Eglise de Scientologie fait une bonne action pour l’Ontario. Ron Hubbard a énoncé une vérité fondamentale lorsqu’il a dit qu’ « un être a de la valeur dans la mesure où il peut servir les autres ». Que son héritage et son esprit continuent à rayonner à travers tout le Canada.”

Enfin JW Windland, fondateur du Centre de rencontres des religions du monde, a salué les actions de l’Eglise dans le domaine interreligieux : “Je pense que vous allez encore resserrer le tissu social de notre région grâce à votre engagement constant dans le dialogue interreligieux et l’éducation, par votre participation aux conseils interreligieux, et en ouvrant largement vos portes à l’ensemble de la collectivité tout comme à ceux qui cherchent et s’intéressent à toutes les religions. Vos efforts vont réellement permettre à la vision de Ron Hubbard, d’un monde de tolérance religieuse et de paix, de se réaliser.”
L’Eglise de Scientologie de Cambridge est la première église dite « idéale » inaugurée en 2013, et s’inscrit dans la lignée des nouvelles églises qui ont ouvert leurs portes en 2012 : le nouveau Centre de Scientologie de Tel Aviv-Jaffa (21 août) ; les Eglises de Scientologie de Padoue, Italie (27 octobre) ; Los Gatos, Californie (28 juillet) ; Buffalo, New York (30 juin) ; Phoenix, Arizona (23 juin) ; Denver, Colorado (16 juin) ; Stevens Creek à San Jose, Californie (9 juin); Orange County, Californie (2 juin) ; Grand Cincinnati, Ohio (25 février) ; Sacramento, Californie (28 janvier) ; et Hambourg, Allemagne (21 janvier).

Communiqué du 5 Février 2013
Nous remarquons que les souvenirs racontés dans le livre de Mme Hill sur sa scolarité sont complètement en contradiction avec les souvenirs de 30 de ses camarades de classe (voir http://castilecanyonschool.org ). Leurs souvenirs personnels décrivent exactement la même école à la même période comme un camp d’été idyllique et un internat dans un environnement disposant d’une piscine, de terrains de basket et de football, d’écuries, de vergers et de jardins potagers biologiques, ainsi que de salles d’étude classiques et artistiques. Ces anciens camarades de classe ont continué à soutenir les objectifs sociaux et humanitaires de l’Eglise, ont démarré de brillantes carrières professionnelles et ont fondé une famille. Loin d’exprimer des critiques, des griefs ou de l’amertume, ils parlent d’expériences qui leur ont permis de se faire des amis pour la vie tout en acquérant une éducation et les bases spirituelles qui continuent à enrichir leur vie aujourd’hui.
De plus, il est intéressant de noter qu’après avoir fini ses études à l’école, Mme Hill, en tant qu’adulte, a volontairement choisi de poursuivre dans l’ordre religieux de l’Eglise. Ceux qui se dévouent à un ordre religieux rigoureux, quel qu’il soit, le font en s’engageant pleinement, sans penser que cela leur donne des droits particuliers et sans s’attendre à un quelconque traitement préférentiel. Ceux qui décident qu’un ordre religieux n’est pas pour eux sont libres de continuer leur vie autrement, comme l’a fait Mme Hill. Chaque religion a ses détracteurs ; aucune croyance ne peut satisfaire les aspirations spirituelles de tout le monde.
L’Eglise respecte depuis longtemps l’unité familiale, en logeant et en aidant ceux qui élèvent des enfants. Toute suggestion du contraire est un mensonge. Le livre lui-même reconnaît qu’il contient des dialogues « reconstitués » et deux douzaines de pseudonymes. Quant aux descriptions de l’Eglise lorsque Mme Hill la fréquentait il y a des années, et aux descriptions de deuxième ou de troisième main de l’Eglise aujourd’hui, elles sont pareillement sujettes à caution. Les récits révisionnistes sont caractéristiques des apostats et les contes des tabloïds sont à prendre avec d’énormes pincettes.
On peut trouver la véritable histoire de la religion de Scientologie, de ses croyances et de ses pratiques sur scientologie.fr

Le début de l'article :
Si la fusillade de Newtown a relancé le débat sur les armes à feu, elle a aussi soulevé le problème des antipsychotiques. Le meurtrier, Adam Lanza, était sous Fanapt, un médicament controversé aux effets secondaires particulièrement lourds : agressivité, paranoïa, délire ou encore crises de panique.
L'épouvantable drame de l’école américaine de Sandy Hook dans laquelle 26 personnes trouvèrent la mort de la main d’un tueur fou invite une nouvelle fois à poser deux questions : celle des armes en liberté aux Etats-Unis, débat amplement réabordé par le pouvoir américain et la deuxième, celle du rôle au moins favorisant des traitements médicamenteux absorbés par nombre de ces tueurs.
En effet, le Fanapt, drogue acceptée par la Food and Drug administration (FDA) depuis 2009 était très controversée bien avant le drame de Sandy Hook. Au-delà des effets secondaires de type cardiaque, les effets indésirables signalés avec le médicament du jeune Adam étaient l’agitation et l’agressivité. Les accès maniaques ou de paranoïa avaient été rapportés ainsi que des désordres compulsifs, des impulsions incontrôlables et des dépressions profondes.
Initialement rejeté par la FDA, l’organisme qui autorise la commercialisation aux Etats-Unis, le Fanapt a été repris par une autre société et finalement commercialisé car les effets indésirables ont été estimés "non fréquents".
"Ils existent et ne peuvent être oubliés" comme le souligne un article récent du New York magazine. Les effets délétères induits par ce médicament sont souvent ceux que l’on voulait contrôler chez ce patient : "un comportement de type psychotique, entrainant des troubles relationnels dans les interactions sociales dans le spectre autistique".
Atlantico : Sur le marché français, existe-t-il des antipsychotiques dangereux ? Lesquels ?
Nicole Delépine : Tous les antipsychotiques sont potentiellement dangereux comme d’ailleurs la plupart des médicaments qui ont une efficacité. Le problème comme toujours en médecine est de peser le risque versus efficacité. Si un patient a vraiment besoin d’une drogue (autre mot pour nommer un médicament qui montre d’emblée qu’aucun n’est anodin), il faudra la lui donner. Mais il importe de ne prescrire les médicaments que contraints et forcés, ce qui aux Etats-Unis comme dans notre pays n’est pas le cas. Le mythe de la pilule miracle qui va tout arranger reste fortement ancré.
Les antipsychotiques (neuroleptiques) tentent de soigner les symptômes du patient mais ils ne guérissent pas et entrainent eux-mêmes souvent directement des troubles. Les malades se plaignent de troubles de la concentration et de l’impossibilité de conduire ou de travailler normalement. Leurs proches notent des anomalies de leur comportement qui n’est plus le même. De plus les nouveaux antipsychotiques entrainent des troubles métaboliques majeurs avec prise de poids. Beaucoup de conséquences très négatives qui font qu'ils sont rejetés par de nombreux psychiatres.
En quoi les antipsychotiques constituent-ils un danger ? Pour quels types de patients sont-ils les plus dangereux ?
Des millions de Français avalent chaque jour leurs pilules qui les prédisposent à l’accident de voiture et à l’agressivité et correspondent à au moins un milliard d’euros de dépenses pour l’assurance maladie. D’après Chatelin 50% des médicaments altèrent les facultés au volant, 10% des accidentés de la route ont un psychotrope dans le sang. Toute molécule qui a des effets sédatifs multiplie le risque d’accidents de deux à cinq fois.
L’observatoire français de drogues et toxicomanies publie sur son site les chiffres suivants : 8,9 millions d’usagers occasionnels et 3,8 millions de réguliers sur la population française de 12-75 ans. A 14-15 ans, l'expérimentation de médicaments psychotropes se révèle déjà élevée puisque 20% des adolescents déclarent en avoir consommé au moins une fois au cours de leur vie. Les principaux types de médicaments consommés au cours de l’année sont les anxiolytiques (7%), les somnifères (7%) et les antidépresseurs (6%). Si globalement toutes les consommations augmentent avec l’âge, seuls les somnifères croissent continûment jusqu’à 75 ans, les deux autres classes thérapeutiques connaissant un recul au-delà de 55 ans. Au-delà de 70 ans, une personne sur deux serait sous psychotropes alors que le danger est particulièrement élevé chez le sujet âgé (chute à répétitions qui diminue l’espérance de vie etc.).
Si certains sont sérieusement malades et nécessitent un traitement qui devrait s’associer à une interdiction de conduire et un suivi rapproché, la plupart d’entre eux ne nécessitent pas cette prise régulière de médicaments qui altèrent leur fonctionnement cérébral. Les antipsychotiques se sont répandus comme une trainée de poudre depuis leurs découvertes dans les années 1960. Le marketing a alors transformé les émotions normales en "maladies" et inciter les humains à se transformer en machine à avaler des drogues.On a "médicalisé" les émotions pour créer un gigantesque marché. Les deuils, les contrariétés, la timidité, la peur de parler en public ou au contraire l’agitation transformée en "hyperactivité" sont devenus des affections médicales que l’on devrait traiter.
La manipulation marchande a transformé les affections du psychisme en maladies "organiques" susceptibles de recevoir des drogues multiples. Les essais cliniques avec tirage au sort ont envahi le domaine des émotions comme celui de la cancérologie. L’exercice de la psychiatrie et de la psychologie a été décimé. L’asile chimique a envahi notre vie avec ses conséquences encore sous estimées. Pour les enfants dits "turbulents" autrefois à l’aise dans les champs et les forêts on a inventé "l’hyperactivité" dont la fréquence serait de 10% et la pilule adéquate ! Près de 8 millions d’écoliers, de collégiens et de lycéens de 3 à 20 ans prennent aux Etats-Unis des antidépresseurs ou des calmants, notamment de la Ritaline, une molécule à base d’amphétamines dont la consommation a explosé depuis dix ans outre-Atlantique. Aux Etats-Unis, les psychiatres, les laboratoires n’ont cessé de promouvoir ce médicament qui aurait un effet pacifiant sur les enfants hyperactifs, dont il améliorerait la concentration. Des enseignants ont pris l’habitude d’inciter les parents à consulter un psychologue voire un psychiatre au moindre écart. Cette démarche débouche en général sur une prescription de Ritaline. Aux Etats-Unis, elle est devenue quasi obligatoire en cas de diagnostic d'"hyperactivité", car conditionne le paiement des aides accordées par l’Etat aux élèves en difficulté.
En France, 7 000 à 10 000 enfants seraient sous Ritaline. Le danger rôde et il faut être vigilant ! C’est la tentative récente de l’Inserm, pour l’instant avortée grâce au collectif "pas de zéro de conduite pour les enfants de 3 ans" de dépister puis de traiter, évidemment par le bonbon Ritaline, "tous les délinquants potentiels". Il a fallu une large pétition sur internet (196 348 signatures au 28/02/11) pour faire avorter le projet national de dépistage systématique des troubles comportementaux des jeunes enfants dès la maternelle et de leur traitement médicamenteux "pour résoudre le problème social de la délinquance". Le rapport de l’INSERM sur "le trouble des conduites chez l’enfant et l’adolescent" recommande un dépistage dès l’âge de trente-six mois du syndrome d’hyperactivité ! Les laboratoires poussent à la consommation et cherchent à envahir l’Europe !
Lire la suite ici : http://www.atlantico.fr/decryptage/crises-folie-meurtriere-ces-antipsychotiques-dangereux-et-insuffisamment-controles-nicole-delepine-588975.html
Interview de Charles de Laubier, ancien journaliste aux Echos et rédacteur en chef de Édition Multimédi@

http://www.fait-religieux.com/une_haute_autorite_pour_reguler_les_religions_en_france_
Je vous ai traduit l'article du japonais... Enfin, non, de l'anglais :)

Hier, j'étais avec Jean Claude Carton en direct sur la radio Etoiles du Coeur, pour parler de la sortie de mon livre "Inquisition en Bande Organisée". 2h30 d'interview avec cet homme de radio fort sympathique.
Je vous ai laissé la chanson que JC Carton avait choisi de passer en introduction, qui, bien que sa musique puisse sembler désuète, a des paroles truculentes : "La Rumeur", par Yves Duteil. Elle est suivie d'un extrait sonore d'un échange que j'avais eu avec Robert Ménard sur itélé il y a quelques mois (Interview Robert Ménard avec le porte parole de l'Eglise de Scientologie).
La deuxième partie :
A Isfiya, une ville d'Israel qui abrite une très forte communauté Druze, les leaders religieux ont fait appel aux scientologues de Tel Aviv pour organiser leur grande parade annuelle, sur le thème de la prévention contre les dangers des drogues.

Chaque année, le conseil municipal d'Isfiya choisit un thème pour le défilé annuel de la ville. Cette année, ils ont transformé la fête en un moyen de lutter contre l'abus des drogues et d'alcool et ont invité les scientologues à mettre en place les stands de "La Vérité sur la drogue" autour du village.
Le défilé a été dirigé par des chefs religieux locaux, musulmans, chrétiens, druzes et juifs, qui marchaient côte à côte pour montrer leur solidarité sur cette question. Après le défilé, ils se sont tous engagés à vivre une vie sans drogue auprès des scientologues qui tenaient les stands de la campagne "la vérité sur la drogue". Quelque 1500 autres festivaliers ont pris le même engagement.
Active dans l'éducation et la prévention sur les dangers des drogues depuis plus de deux décennies, l'Eglise a parrainé la distribution de millions de brochures, des dépliants et d'affiches à travers des milliers d'activités de sensibilisation dans les communautés, les écoles, les églises et les lieux de travail.



En 1982, le doyen Carbonnier avait été consulté pour examiner une décision de justice dans laquelle des membres de l'Eglise de scientologie avaient été inquiétés (avant d'être relaxés et blanchis). Voici un extrait de son analyse :
Pour ceux qui voudraient lire la consultation en son entier, cliquez ici :

Sur itunes : https://itunes.apple.com/fr/book/inquisition-en-bande-organisee/id576410810?mt=11
Le prix : 5,99 euros.
Pour la version papier :
http://www.amazon.fr/France-2012-Inquisition-bande-organis%C3%A9e/dp/2917952105/ref=sr_1_2?s=books&ie=UTF8&qid=1347050065&sr=1-2
ou sur FNAC.com :
http://livre.fnac.com/mp20058624/FRANCE-2012-INQUISITION-EN-BANDE-ORGANISEE


C'est David Miscavige, leader ecclésiastique de la religion scientologue, qui a ouvert le premier le discours d'inauguration, avec ces mots : « Nous gravons aujourd’hui votre engagement à Padoue dans le marbre et la pierre. C’est la promesse d’apporter notre aide et la sagesse infinie de la technologie de L. Ron Hubbard dans cette région. C’est une inscription qui ne connaitra pas les ravages du temps, et ne se transformera pas en poussière quand le vent tournera. Car dans le même esprit avec lequel vous avez restauré ce monument glorieux et construit cette église, il est maintenant en votre pouvoir de restaurer la gloire de chaque communauté et des individus qui les composent. »




Le pianiste Cyprien Katsaris a écrit un courrier à certains de ses amis, dont une partie a été lue le 24 octobre sur France Musique. Il évoque la scientologie dans la fin de son courrier. Ecoutez donc :
Récemment j'étais l'invité d'une émission sur radio VL, consacrée à la scientologie. L'émission durait une heure, je vous en ai donc sélectionné quelques extraits (ça fait quand même 20 minutes) :
Depuis quelque temps, certains ont voulu créer une polémique à propos du film The Master du réalisateur Paul Thomas Anderson. Ce dernier a régulièrement du répondre à des questions concernant la scientologie, alors que depuis le début, il explique que son film n'est pas sur la scientologie. Dans cette interview sur CBS, il donne son point de vue sur la scientologie :
De son coté, l'excellent acteur Philip Seymour Hoffman à qui un journaliste du Chicago Tribune a posé la question : "Comment avez-vous créé votre personnage et de qui vous êtes-vous inspiré ?" (source Chicago Tribune), a répondu : "Avant tout, la question a été de savoir ce que nous ne voulions pas que ce personnage soit. Je pense que la plupart des gens étaient intéressés par l'aspect scientologie et L.Ron Hubbard (le fondateur de la scientologie, ndt), et le fait est que Paul s'en est vaguement inspiré pour créer le décor de son film. Et beaucoup de nos discussions dès le début ont été du type 'je ne veux pas jouer L. Ron Hubbard parce que ce serait très gênant car ce n'est pas le film". Ainsi, un grand nombre de choix ont à voir avec comment ne pas être L. Ron Hubbard. C'est assez clair, nous avons fait des choix de sorte que la façon dont je me comporte, ma façon de parler, tout cela soit très différent de L. Ron Hubbard... la religion d'une personne est la secte d'une autre personne. Nous le savons... en définitive, il s'agissait de créer un personnage unique qui était une œuvre de fiction."
Bref, une polémique pour pas grand chose, si ce n'est quelques entrées supplémentaires pour un buzz monté de toutes pièces par le producteur...
Extraits de la préface, par le doyen Michel de Guillenchmidt, avocat au barreau de Paris, Conseiller d'Etat Honoraire et professeur de droit doyen de faculté.
Le livre est disponible chez les bons libraires, ou sur internet : http://www.amazon.fr/France-2012-Inquisition-bande-organis%C3%A9e/dp/2917952105
Commander chez l'éditeur : http://www.editionsles3genies.com/ouvrages/6-eric-roux-inquisition-bande-organisee.html
Extrait du nouvel album du rappeur Atomik :
Le 1er Octobre, j'étais à nouveau à Varsovie pour intervenir devant le Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe), et les 57 pays membres. Voici un extrait traduit de mes interventions et un lien vers le rapport correspondant sur le site de l'OSCE.

Réunion annuelle sur la mise en œuvre des engagements de la dimension humaine
de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE)
Varsovie - Septembre/Octobre 2012
Intervention d'Eric Roux – 1er octobre 2012
Je prends la parole au nom du Bureau européen des droits de l'homme de l'Eglise de Scientologie.
Malgré de nombreuses recommandations de la part d'instances internationales des droits de l'homme, la politique française à l'encontre des minorités religieuses ne s'est pas améliorée. Au contraire, elle a franchi un pas de plus depuis la précédente réunion sur la mise en œuvre des engagements de la dimension humaine de l’OSCE en 2011.
Contrairement aux allégations des pouvoirs publics français, qui affirment qu'ils n'utilisent plus de liste de mouvements, la mission interministérielle de lutte contre les soi-disant ”sectes”, la Miviludes, utilise un “référentiel” d'environ 600 mouvements, un système de dossiers compilés exclusivement à partir de rapports accusateurs et de dénonciations reçues par la mission au sujet de minorités religieuses spécifiques.
Malgré sa promesse que ce référentiel serait mis à la disposition des mouvements concernés et ne serait pas tenu secret, la Miviludes refuse toujours de leur donner libre accès aux dossiers, tout en mettant ceux-ci à la disposition des juges et des autorités chargées de l'application de la loi, ainsi qu'aux personnes ayant à traiter des affaires familiales et des cas de divorce.

De plus, des séminaires spécifiques intitulés “sessions de sensibilisation” aux soi-disant “sectes” sont donnés chaque année aux juges et aux procureurs à l'Ecole Nationale de la Magistrature depuis 15 ans.
Ces séminaires organisés par la Miviludes ciblent directement les mouvements religieux listés comme “sectes” par la Miviludes. Ils se basent entièrement sur la documentation fournie par les associations “antisectes”, sans aucune possibilité pour les communautés concernées de rectifier les informations.
Ils ont lieu dans le cadre de la “formation continue” des juges et des procureurs, mais maintenant s'adressent également à des juges et à des procureurs “en formation”, avant leur entrée en fonction.
La session de sensibilisation 2012 incluait des conférences par des apostats de minorités religieuses et par des associations “antisectes”, sans aucune possibilité pour les groupes visés de répondre. Les représentants de la Miviludes ont remis des documents aux participants afin de les informer sur la question des “sectes” dans leur pays. L'un de ces documents contient une définition des “dérives sectaires”, qui sont définies comme une “perversion de la liberté de pensée, d'opinion ou de religion”.
Cette pratique a été étendue à d'autres domaines de la société. Un nouveau cursus universitaire a été créé, consacré à la “sujétion sectaire”. Dans ce cadre, des travailleurs sociaux, des professionnels de la justice, des psychiatres et des auxiliaires médicaux sont formés à repérer de soi-disant “victimes de sectes” dans leur pratique professionnelle, même si ces personnes ont adhéré à une minorité religieuse de leur plein gré et ne se plaignent de rien.
Ces programmes de formation de plus en plus larges constituent un système d'endoctrinement des magistrats et de stigmatisation des minorités religieuses, qui violent les droits de leurs membres, garantis par la Convention européenne des Droits de l'homme, les Accords d' Helsinki et le Pacte international relatif aux droits civils et politiques.
Nous demandons respectueusement au Bureau des institutions démocratiques et des droits de l'homme de l'OSCE d'intervenir pour mettre fin à ces pratiques discriminatoires et pour permettre au gouvernement français de mettre en oeuvre une politique plus ouverte, basée sur le dialogue avec les minorités de religion ou de conviction.
Le rapport (en anglais) sur le site de l'OSCE






D'autres photos :






Il y a 25 ans, j'étais déjà fan de celui que je considérais comme le meilleur bassiste du monde (à l'époque, les avis étaient partagés, mais en général Jaco Pastorious et Stanley Clarke étaient les principaux cités). Donc, j'ai considéré que j'étais super chanceux, le 25 août dernier, d'assister à sa prestation lors du Gala annuel du Celebrity Centre International à Los Angeles. Stanley Clarke est toujours une légende et continue de le mériter, peut-être encore plus qu'avant. (Je vous ai ramené une photo à la fin de l'article, malheureusement, Blackberry n'est pas encore Canon...)

Le révérend Franklin Harris (un baptiste) a remercié l'Eglise de Scientologie. Très impliqué dans le combat pour faire chuter la criminalité à Los Angeles depuis des années, il a conclu son discours en disant : "Aujourd'hui, le calme revient dans les rues du sud de Los Angeles (South LA est un quartier réputé pour les gangs qui y sévissent) . C'est vraiment quelque chose de magique. Mais ce n'est pas vraiment magique... c'est simplement la bonté fondamentale de chaque être humain que Le Chemin du Bonheur inspire et fait resurgir. Donc, aujourd'hui, il existe une nouvelle éducation dans les rues du sud de Los Angeles. Et pour cela je remercie profondément et sincèrement l'Eglise de Scientologie et L.Ron Hubbard."

Mike Gatto, parlementaire californien, a lui parlé du travail qu'effectuent les scientologues pour éviter que les enfants soient drogués par des traitements psychiatriques dès leur plus jeune âge, avec la Commission des Citoyens pour les Droits de l'Homme : "Vous avez donné aux parents la force de leurs droits et vous avez sauvé la vie de nombreux enfants. Il reste encore bien sûr beaucoup à faire. Et vous pouvez être sûrs que je continuerai à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour que votre voix soit entendue et que nos leaders politiques agissent pour sauver nos enfants. Je vous demande de vous rappeler ceci : le travail que vous accomplissez sauve des vies, et sauve le rêve d'avenir pour lequel chacun d'entre nous, et les générations passées, nous nous sommes battus si dur."
Et pour finir, la photo promise...



En Hébreux.
Le nouveau centre de scientologie a ouvert ses portes ce matin. Le centre est situé dans le bâtiment historique de l'Alhambra à Jaffa. Dans les années 30 et 40 ce théâtre et cinéma a accueilli les artistes "Umm Kultum", "Farid Al Atrash" et des spectacles comme "Kazablan" et "Un joueur de violon sur le toit". Le groupe de scientologie a rénové le bâtiment afin d'y poursuivre ses activités, qui sont, entre autres, des activités d'éducation sur les dangers des drogues et de l'alcool.
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