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Le blog
Eric Roux

Ministre du culte de L'Eglise de Scientology, après 30 années passées dans le clergé de l'Eglise, Eric Roux est aujourd'hui le président de l'Union des Eglises de Scientology de France et Vice Président du Bureau Européen de L'Eglise de Scientology pour les affaires publiques et les droits de l'homme. Il est aussi Président élu du Conseil International de URI (United Religions Initiative) et le Président du European Interreligious Forum for Religious Freedom.
Ce blog est une initiative personnelle destinée aux gens qui s'intéressent à la spiritualité, ou à ceux qui souhaitent en apprendre plus sur la scientology, à ceux qui pensent que la liberté de conscience est un droit fondamental qui mérite d'être défendu, à mes coreligionnaires ou encore à ceux qui sont curieux...
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C'était le 29 janvier 2011 à Melbourne, en Australie. Je ne vous avais jamais mis les images de l'inauguration...
Eric Roux

Tim Bowles et le Maire de Pasadena
Le 30 janvier, La ville de Pasadena (Californie) et la Commission des relations humaines de Pasadena ont remis le prix "Modèle de l'unité" au scientologue Tim Bowles et à l'association "Des Jeunes pour les droits de l'homme" dans la salle du conseil, "en reconnaissance d'un groupe qui favorise la collaboration dans les domaines des programmes et des ressources de la ville, tout en reliant les individus au sein de la communauté diversifiée de Pasadena."
Tim Bowles, directeur du département des droits de l'homme de l'Église de Scientologie de Pasadena et Directeur du développement International de l'association "Des Jeunes pour les droits de l'homme", a créé la campagne africaine des droits de l'homme et du leadership pour fournir aux jeunes hommes et femmes africains la formation et l'expérience dont ils ont besoin afin de jouer des rôles clés dans la création et le maintien de sociétés justes et prospères.
Bowles a été rejoint à la remise du prix par Joseph Jay Yarsiah, Directeur du programme des Jeunes pour les droits de l'Homme pour l'Afrique, avec qui il a piloté la campagne à Pasadena et à Duarte l'année dernière, après la mise en œuvre de celle-ci dans les écoles secondaires du Ghana, du Libéria, de la Sierra Leone, du Togo et de l'Ethiopie.
En acceptant le prix, Bowles a déclaré : "Au nom de l' association internationale des Jeunes pour les droits de l'homme et de ses nombreux bénévoles locaux et internationaux, je vous remercie beaucoup pour cette reconnaissance et la confiance que vous avez placée dans notre travail. Je crois que nous vivons à une époque où le cynisme et l'apathie sont devenus «cool» et où trop de gens pensent qu'ils ont le luxe de conserver des idées fixes et fausses au sujet de ces groupes ou de ces individus étiquetés comme différent, que ces différences se manifestent sous la forme de l'ethnie, de la culture, de la situation économique, ou de la religion. La mission de l'Association des Jeunes pour les droits de l'homme est d'éduquer les jeunes sur la Déclaration universelle des droits de l'homme et ses 30 articles et de les former en tant que leaders en matière de responsabilité mutuelle, de possibilités équitables et de justice sociale."
C'est le Maire de Pasadena Bill Bogaard qui lui a remis le prix au nom de la ville de Pasadena.
10/02/2012
La ça commence à devenir intéressant. L'article de Geoffrey Le Guilcher dans les Inrocks montre le délire dans lequel des magistrats peuvent être, quand il s'agit d'inventer des victimes.
Lettre ouverte: il dément être une victime de la scientologie
Dans une missive datée du 8 février que nous publions en intégralité, un scientologue dit être en colère. Alors qu'il n’a jamais porté plainte, il refuse de voir son nom associé au statut de victime dans la condamnation en appel de l’Eglise de scientologie, le 2 février dernier,...
Lire la suite sur les Inrocks
09/02/2012
Article du Parisien mentionnant la Commission des Citoyens et des Droits de l'Homme, fondée en 1969 par l'Eglise de Scientologie et le Psychiatre émérite Thomas Szasz.

Jean-Luc Martin Lagardette est le rédacteur en chef du magazine ouvertures.net. Il enseigne la déontologie journalistique à l'Ecole des métiers de l'information et à l'Ecole Supérieure de Journalisme de Lille. Il a initié en juillet 2007 le "co-journalisme" sur Agoravox. Il a aussi créé, avec Yves Agnès, ancien rédacteur en chef du Monde et qui en est le président, l’Association de préfiguration d’un Conseil de presse (APCP - //apcp.unblog.fr), pour la création en France d’une instance de régulation et de médiation entre la presse et le public.
Dans l'article qui suit, il porte un regard dissident sur le procès qui s'est déroulé récemment :
Je sais bien que mon discours risque de choquer, tant la scientologie est considérée dans notre beau pays de « libertés » comme une « secte » dangereuse qu´il faut à tous prix empêcher d´exister. La simple évocation de son nom provoque la haine, le rejet, la peur chez beaucoup de gens.
Il faut croire que personne ne réfléchit beaucoup ici, que les faits ont beaucoup moins d’importance que les croyances ou les sentiments.
Car, partant du récent verdict et de sa confirmation en appel, on est en droit de se poser quelques questions de bon sens. Par exemple, quand on fait un procès, en général, c’est qu’on s’estime victime d’un préjudice. Or, dans ces deux affaires, le procès et son appel, il n’y a pas de victime, ni présumée ni reconnue, de la scientologie...
Suite de l'article
Dans l'article qui suit, il porte un regard dissident sur le procès qui s'est déroulé récemment :
Je sais bien que mon discours risque de choquer, tant la scientologie est considérée dans notre beau pays de « libertés » comme une « secte » dangereuse qu´il faut à tous prix empêcher d´exister. La simple évocation de son nom provoque la haine, le rejet, la peur chez beaucoup de gens.
Il faut croire que personne ne réfléchit beaucoup ici, que les faits ont beaucoup moins d’importance que les croyances ou les sentiments.
Car, partant du récent verdict et de sa confirmation en appel, on est en droit de se poser quelques questions de bon sens. Par exemple, quand on fait un procès, en général, c’est qu’on s’estime victime d’un préjudice. Or, dans ces deux affaires, le procès et son appel, il n’y a pas de victime, ni présumée ni reconnue, de la scientologie...
Suite de l'article
La procédure
Les faits pour lesquels l’Eglise a été condamnée (de manière non définitive, puisque l’Eglise s’est pourvue en cassation) remontent à 1998 et concernent 3 personnes qui ont reçu des services religieux à l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC). L’une d’entre elles a retiré sa plainte avant même le procès en première instance, considérant n’avoir plus rien à reprocher à l’Eglise. La deuxième s’est désistée avant l’appel, estimant avoir résolu son différent avec l’Eglise. La troisième n’a jamais porté plainte, et en fait est toujours scientologue (nous en parlerons plus loin), et a toujours maintenu que les services qu’elle a reçus et pour lesquels elle a versé des rétributions financières lui ont été extrêmement bénéfiques.
Les deux personnes qui avaient porté plainte initialement, avaient été « conseillées » par une association de lutte contre les nouveaux mouvements religieux, l’UNADFI. Alors qu’elles avaient régulièrement exprimé leur satisfaction pendant leur pratique de la religion scientologue, après leur passage entre les mains de l’Unadfi, elles estimaient avoir donné de l’argent pour des choses sans valeur. Elles ont toutes les deux été remboursées intégralement de leurs rétributions faites à l’Eglise.
En 2006, après 8 ans d’investigations, le procureur de Paris a rendu des réquisitions écrites définitives (les seules réquisitions écrites existant au dossier) aux fins de non-lieu, estimant à juste titre qu’aucun acte délictueux n’avait été commis ni par les scientologues ni par l’Eglise.
Les faits pour lesquels l’Eglise a été condamnée (de manière non définitive, puisque l’Eglise s’est pourvue en cassation) remontent à 1998 et concernent 3 personnes qui ont reçu des services religieux à l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre (ASES-CC). L’une d’entre elles a retiré sa plainte avant même le procès en première instance, considérant n’avoir plus rien à reprocher à l’Eglise. La deuxième s’est désistée avant l’appel, estimant avoir résolu son différent avec l’Eglise. La troisième n’a jamais porté plainte, et en fait est toujours scientologue (nous en parlerons plus loin), et a toujours maintenu que les services qu’elle a reçus et pour lesquels elle a versé des rétributions financières lui ont été extrêmement bénéfiques.
Les deux personnes qui avaient porté plainte initialement, avaient été « conseillées » par une association de lutte contre les nouveaux mouvements religieux, l’UNADFI. Alors qu’elles avaient régulièrement exprimé leur satisfaction pendant leur pratique de la religion scientologue, après leur passage entre les mains de l’Unadfi, elles estimaient avoir donné de l’argent pour des choses sans valeur. Elles ont toutes les deux été remboursées intégralement de leurs rétributions faites à l’Eglise.
En 2006, après 8 ans d’investigations, le procureur de Paris a rendu des réquisitions écrites définitives (les seules réquisitions écrites existant au dossier) aux fins de non-lieu, estimant à juste titre qu’aucun acte délictueux n’avait été commis ni par les scientologues ni par l’Eglise.
Malgré cela, face à la pression politique existante, le juge d’instruction, dans une ordonnance de renvoi totalement à charge, a renvoyé l’Eglise devant le tribunal en septembre 2008.
Le Parquet, lors de la première instance en mai 2009, alors qu’aucun fait nouveau n’est apparu, a radicalement modifié sa position et a demandé la dissolution de l’association, peine illégale n’existant plus dans le code pénal (l’association poursuit actuellement l’Etat français en justice pour cette faute lourde commise par les représentants du Parquet ayant requis cette dissolution). La seule chose qui s’est produite qui pourrait expliquer ce revirement infondé, est une intervention directe de la Miviludes (pouvoir exécutif), auprès des procureurs. Celle-ci a reconnu être intervenue auprès du Parquet « dans des dossiers en cours » début 2009. La décision de première instance a été rendue en septembre 2009. L’Eglise a fait appel.
6 mois avant l’appel, lorsque les dates des audiences ont été fixées, les avocats de l’association ont adressé des courriers au Parquet et à la Cour d’appel, afin que soient fixées des audiences préliminaires pour aborder la question de la recevabilité de l’Unadfi dans ce procès, et toute autre demande préalable à l’examen du fond. Celle-ci en effet, seule partie civile du procès, avait non seulement été jugée irrecevable en première instance, mais était de manière évidente une partie illégitime au procès puisqu’en 30 ans de jurisprudence, elle n’avait jamais été recevable dans un procès contre l’Eglise ou ses membres, et que même la Cour de Cassation avait confirmé cette irrecevabilité pas plus tard qu’en Mars 2010. La Cour d’appel et le Parquet ont pourtant rejeté toute demande d’examen préliminaire de la question.
Un mois avant l’appel, le Ministère de la justice a publié une circulaire à l’attention des magistrats, dans laquelle il leur demandait expressément de poursuivre avec acharnement certaines des pratiques religieuses scientologues qui allaient être débattues devant la Cour d’Appel de Paris. La circulaire enjoignait aussi les magistrats de travailler en partenariat avec l’Unadfi, alors que cette association était la seule partie opposée à l’Eglise dans le procès. Devant une telle ingérence du pouvoir exécutif dans une affaire judiciaire, ingérence ruinant complètement le droit de l’association religieuse et des scientologues à bénéficier d’un procès équitable, l’ASES-CC a déposé une plainte devant le rapporteur spécial sur l’indépendance de la justice à l’ONU, actuellement en cours.
D’autres violations des droits fondamentaux se sont produites lors du procès en appel.
• Pendant les audiences, alors que les avocats de la défense ont demandé à pouvoir consulter l’original du dossier de manière contradictoire à l’audience de la Cour, au moment où il apparaissait que cette consultation aurait pu permettre d’écarter justement l’UNADFI des débats, cette consultation a été refusée. Cette consultation était particulièrement importante et nécessaire parce que des pièces favorables à la défense semblaient avoir mystérieusement disparu du dossier. L’Eglise a dû déposer une plainte pour vol, actuellement pendante devant le Tribunal de Grande Instance de Paris, alors que le Garde des Sceaux est resté inerte face à la demande d’ouvrir une enquête de l’inspection générale des services judiciaires.
• La Cour a aussi refusé d’examiner la recevabilité de l’Unadfi avant les débats au fond, marquant ainsi sa volonté de faire participer aux débats une partie manifestement irrecevable, ruinant ainsi toute possibilité de justice équitable et d’égalité des armes pour les prévenus scientologues.
• Face à une telle impossibilité d’exercer leur devoir d’auxiliaire de justice, les avocats de l’ASES-CC ont choisi de se retirer, afin de ne plus cautionner ce procès faussé et inéquitable. Les autres avocats leur ont emboîté le pas. La Cour, après 20 minutes d’interruption, a repris les débats comme si de rien n’était, sans même proposer aux prévenus la possibilité de se procurer une nouvelle défense, ni faire intervenir l’Ordre des Avocats pour qu’ils se voient proposer un Commis d’Office.
• Un des prévenus scientologues qui vivait en Angleterre et était représentée par un avocat ayant quitté la barre, a alors demandé expressément à obtenir l’assistance d’un avocat en remplacement de celui qui avait quitté le procès ; elle s’est vue opposer une fin de non recevoir, au mépris des droits les plus fondamentaux inhérents à notre Etat de droit.
• Même si les juges savaient pertinemment que l’Unadfi était irrecevable dans ce procès (L’Unadfi a été en effet finalement une fois de plus déboutée dans l’arrêt du 2 février), ils n’ont pas hésité à interroger longuement Catherine Picard, Présidente de l’Unadfi, ce qui lui a permis de répandre illégitimement mensonges et rumeurs sur l’Eglise de Scientologie devant la Cour pendant les débats. Aucune autre personne n’a été interrogée dans ce procès.
• Finalement, la Cour d’Appel a rendu son délibéré alors qu’un pourvoi en Cassation était en cours pour excès de pouvoir, et que tant que celui-ci n’a pas fait l’objet d’un arrêt de la Cour de Cassation, la Cour d’Appel ne pouvait pas, d’après la loi, statuer sur le fond de l’affaire.
L’Eglise a contesté la totalité de l’arrêt rendu en se pourvoyant en cassation. Ce pourvoi suspend les peines et mènera certainement à une annulation de l’arrêt de la Cour d’Appel.
Le cas de P. A.
La Cour a condamné l’Eglise et les scientologues pour avoir prétendument commis une escroquerie au préjudice de Monsieur P. A. en acceptant ses rétributions pour des services religieux de Scientologie. Or Monsieur P.A. n’a jamais porté plainte contre l’Eglise. Au contraire, alors que lors d’interrogatoires fort éprouvants par les policiers puis devant le juge d’instruction, ceux-ci ont tenté de faire pression sur lui afin qu’il porte plainte contre l’Eglise, P. A. a toujours déclaré avoir énormément bénéficié des services reçus de l’ASES-CC, et avoir volontairement versé les rétributions pour les services (comme les deux seuls plaignants qui ont finalement retiré leurs plaintes, d’ailleurs).
Aujourd’hui, P. A. est toujours scientologue, et ne comprend pas comment une Cour peut décider à sa place s’il doit pratiquer librement sa religion ou non, et si le fait de soutenir volontairement son Eglise fait de lui, une victime.
Que penserait-on si un catholique qui soutient son Eglise financièrement, de son plein gré, était étiqueté par une instance judiciaire comme une victime, malgré ses protestations et l’affirmation que son souhait est de soutenir son Eglise ?
Les ingérences de l’exécutif auprès des instances judiciaires
L’Etat Français mène depuis des années une politique répressive à l’égard des minorités religieuses. Récemment, en moins d’un an, la France a été condamnée à 2 reprises par les instances judiciaires européennes et internationales pour violation de la liberté religieuse de ses citoyens (Une fois par la Cour Européenne des Droits de l’Homme pour avoir violé les droits des témoins de Jéhovah à pratiquer leur religion, une fois par le Comité des Droits de l’Homme de L’ONU pour violation de la liberté religieuse des Sikhs).
• L’Etat français a créé un organisme interministériel chargé de lutter contre les « dérives sectaires » : la Miviludes. En fait, cet organisme, ayant dressé une liste des « sectes » dans un « référentiel », stigmatise les mouvements dont il considère que la philosophie et les pratiques religieuses sont des « dérégulations de la croyance ». Le Président de la Miviludes, Georges Fenech, a fait de la lutte contre l’Eglise de Scientologie son cheval de bataille. Il a été le seul à avoir jamais mis les dirigeants parisiens de l’Eglise en prison (illégalement) alors qu’il était juge d’instruction à Lyon dans les années 1990. Tous ces scientologues ont été par la suite blanchis et leur innocence fut reconnue par la justice française.
• En 2008, juste avant la demande de renvoi devant le tribunal par le juge d’instruction malgré les réquisitions aux fins de non lieu, le Premier Ministre avait confié à Georges Fenech une mission pour évaluer comment utiliser le dispositif judiciaire pour lutter contre les « sectes ». A cette occasion, Georges Fenech avait rencontré des procureurs, des juges et des juges d’instruction. C’est dans ce contexte hautement préjudiciable aux nouveaux mouvements religieux en France que le juge d’instruction en charge a choisi de renvoyer l’affaire pourtant vide devant le Tribunal correctionnel.
• La Miviludes est intervenue début 2009 auprès du Parquet dans des dossiers en cours quelques semaines avant le début du procès en première instance.
• Toujours en 2009, un mois avant le procès, le Président de la Miviludes Georges Fenech est intervenu dans des dizaines de médias nationaux pour prendre partie contre la Scientologie et attaquer les pratiques religieuses des scientologues avant même que le procès ait commencé, agissant ainsi sur l’opinion publique en jetant l’opprobre sur des dizaines de milliers de scientologues français.
• Pendant la période de délibération du Tribunal, en septembre 2009, le Président de la Miviludes a lancé une rumeur nationale pour faire croire que l’Eglise de Scientologie aurait été à la source d’une modification de la loi qui ne permettait pas de dissoudre une personne morale pour escroquerie. Cette rumeur infondée, dont une enquête officielle postérieure a montré l’inconsistance, a été fort préjudiciable à l’ASES-CC, renforçant la présomption de culpabilité à son égard.
• L’Etat français finance des associations de lutte contre les nouveaux mouvements religieux à coup de centaines de milliers d’euros chaque année. La principale association, l’UNADFI, orchestre des campagnes de discrimination à l’encontre de ces mouvements tout au long de l’année. Elle se porte aussi illégitimement partie civile dans les procès de l’Eglise de Scientologie, pour finalement être à chaque fois déclarée irrecevable. Mais pire encore, sous l’égide du Ministère de la justice, elle assure la formation des magistrats à l’Ecole Nationale de la Magistrature dans des sessions de formations destinées à leur expliquer comment condamner les mouvements religieux considérés comme « sectaires ». Il a été établi que lors de ces « formations », des documents uniquement à charge sont utilisés, comme des décisions de justice défavorables à l’Eglise, quand bien même ces décisions ont été cassées et réformées par des décisions en appel ou en cassation. Ainsi, lorsque l’Eglise de Scientologie se retrouve devant un tribunal ou une cour face à l’UNADFI, elle se retrouve avec des magistrats qui ont été potentiellement formés et endoctrinés par l’une des parties au procès. Toute chance de procès équitable a alors déjà disparu.
• La France a installé un système de répression des nouveaux mouvements religieux jusque dans la Direction des Affaires Criminelles et des Grâces au sein du Ministère de la justice (c’est la branche qui contrôle et dirige les procureurs), qui possède dans son organigramme une « mission sectes » spécialement dédiée à cette répression. Le dispositif inclut des magistrats « correspondants sectes » dans chaque Cour d’appel du pays, chargés de coordonner les actions des magistrats à l’encontre de ces mouvements religieux.
C’est dans ce contexte qu’il faut évaluer la difficulté pour les minorités religieuses de bénéficier d’une justice équitable en France. Dans de telles conditions, seul un miracle pourrait permettre à une cour de juger avec impartialité une affaire dans laquelle l’Eglise de Scientologie est partie.
Seules les croyances et les pratiques religieuses des scientologues ont été jugées
Face à la situation étonnante dans laquelle aucune « victime » n’existait pour soutenir l’accusation, la Cour, comme le Tribunal de première instance, a dû s’en prendre directement aux croyances et aux pratiques religieuses des scientologues pour justifier de sa décision. Ainsi elle a suivi les instructions données par le Ministère de la justice dans sa circulaire du 19 septembre 2011 qui fait l’objet d’une plainte devant l’ONU, en s’attaquant à la pratique de la purification telle qu’elle est effectuée par des centaines de milliers de scientologues depuis des dizaines d’années dans le monde entier. Cette pratique, ainsi que celle de l’audition (conseil pastoral et exercices spirituels de Scientologie) ont été décrites comme longues et éprouvantes, ayant pour effet d’enlever toute valeur probante aux nombreuses déclarations de satisfaction des plaignants vis à vis de la Scientologie, la Cour considérant ainsi que ces pratiques religieuses reconnues comme telles dans tous les autres pays d’Europe participaient de l’escroquerie. Ce jugement de valeur sur les croyances des scientologues a aussi englobé depuis le début de l’instruction l’usage de l’électromètre, tel qu’il est envisagé par des millions de scientologues chaque jour à travers le monde.
La Cour a aussi estimé que l’usage par l’Eglise d’un test de personnalité était constitutif d’une escroquerie, parce que l’interprétation n’en était pas faite par des psychologues qualifiés et que le test n’avait pas de « valeur scientifique », tout en reconnaissant qu’il n’existait ni dans notre pays ni en Europe de texte légal régissant l’usage des tests par quiconque. Cette manière d’exiger d’une religion qu’elle soumette ses croyances et pratiques au contrôle d’une prétendue « expertise scientifique » est une ingérence absolue de l’Etat dans les croyances des individus, et viole tous les standards européens et internationaux en matière de liberté religieuse. Tout comme l’exigence que des ministres du culte soient des psychologues qualifiés pour exercer leur ministère.
Enfin, pour justifier de sa décision, la Cour a dû, tout en reconnaissant qu’aucun enrichissement personnel n’avait eu lieu de la part des prévenus, prêter des intentions financières et mercantiles aux scientologues membres permanents de l’association, alors que ceux-ci exerçaient leur ministère depuis des années, sans jamais s’être enrichis personnellement, dans le seul but d’aider les paroissiens qui venaient leur rendre visite en leur enseignant la philosophie religieuse de Scientologie. Ainsi, la finalité religieuse de la Scientologie et son objectif de liberté spirituelle, telle qu’ils sont vécus par des millions de scientologues à travers le monde, ont été niés par la Cour qui y a substitué arbitrairement des visées commerciales pour justifier de la condamnation.
Intention réelle des opposants
Après le rendu de l’arrêt, l’avocat de l’UNADFI, alors qu’elle avait été jugée partie illégitime au procès, s’est ouvert aux journalistes de ses véritables intentions. Il annonçait que son objectif était d’obtenir d’autres condamnations en France pour pouvoir ensuite réclamer la dissolution de l’Association et l’interdiction de la Scientologie sur tout le territoire. C’est ainsi qu’une association de militants extrémistes contre les nouveaux mouvements religieux, financée par l’Etat français, instrumentalise la Justice pour tenter d’empêcher des dizaines de milliers de citoyens de pratiquer leur religion librement et qu’elle détruit leurs libertés fondamentales.
04/02/2012
04/02/2012
J'étais l'invité de Robert Ménard ce jeudi après midi.
J'aime bien Robert Ménard...
Pour ceux qui auraient encore des doutes sur la vision différente de nos voisins espagnols en ce qui concerne la scientologie...
Communiqué du 3 février 2011
L’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre, au lendemain de la décision rendue par la Cour d’Appel de Paris, remarque que l’unique partie civile de ce procès, la seule plaignante qui se prétendait encore « victime », l’association antireligieuse UNADFI, a été déboutée, la Cour d’Appel reconnaissant qu’elle n’avait aucune légitimité à y être.
Cette Association UNADFI, financée à coup de centaines de milliers d’euros par les contribuables, fait déjà l’objet actuellement de 6 procédures judiciaires pour abus de droit. Elle a été à la source de la désinformation qui a permis autant de violations des droits fondamentaux des scientologues dans notre pays. La reconnaissance de son illégitimité par la Cour d’Appel aurait dû mener à son éviction du procès bien avant les débats, comme l’avait, à juste titre, soutenu l’Eglise. La juridiction d’appel a choisi de maintenir cette partie qu’elle savait illégitime jusqu’au bout, afin de pouvoir justifier sa décision, pour finalement être obligée de l’évincer. La seule personne interrogée dans ce procès est Catherine Picard, Présidente de l’UNADFI, alors que la Cour savait pertinemment qu’elle allait devoir la déclarer irrecevable à la fin. C’est cela qui a permis à Catherine Picard, de répandre illégitimement mensonges et rumeurs sur l’Eglise de Scientologie pendant les débats.
Face à ce traitement irresponsable et discriminatoire de personnes sur le fondement de leurs croyances, l’Eglise de Scientologie annonce qu’elle va entamer une grande campagne de communication dans notre pays.
Dès demain, une édition spéciale du Magazine Ethique et Liberté va être distribuée dans toutes les grandes villes de France à plus de 100 000 exemplaires. Cette édition titre « Qui sont les scientologues », afin que les Français puissent enfin savoir la vérité sur ces gens qui sont des citoyens responsables, travailleurs, et qui depuis 50 ans travaillent à l’amélioration de notre société sans jamais ne rien demander en retour. Suivront d’autres actions visant à faire connaître l’ensemble des actions caritatives menées par les scientologues dans notre pays, que ce soit dans le domaine des Droits de l’Homme, de l’information et de la prévention sur les dangers des drogues, ou de la restauration des valeurs morales face à une criminalité inquiétante.
L’Eglise de Scientologie exerce en France depuis plus de 50 ans, elle aide activement plus de 45 000 fidèles et sympathisants dans l’hexagone, elle soutient et est à l’origine de la plus importante campagne de prévention sur les dangers des drogues dans le pays, et ses programmes d’éducation sur les droits de l’homme sont reconnus dans le monde entier comme les plus importants et les plus efficaces à l’heure actuelle. Elle compte plus de 10 millions de fidèles dans le monde, avec plus de 10 000 Eglises, missions et groupes dans plus de 167 pays. Pour répondre à la demande, chaque mois, de nouvelles Eglises de Scientologie s’ouvrent dans le monde. Depuis Novembre, 3 nouvelles Eglises de plus de 8000 mètres carrés ont ouvert leurs portes : à Inglewood, dans le quartier afro américain de Los Angeles, à Hambourg, et ces derniers jours à Sacramento. A cette occasion, dans son discours d’ouverture de l’Eglise, le Maire de Sacramento Kevin Johnson a déclaré : « Cette Eglise n’est pas juste un bâtiment pour vous, c’est un bâtiment pour la communauté. C’est un bâtiment qui va nous aider à revitaliser le Centre ville de Sacramento. » Dans le monde entier, l’Eglise de Scientologie est reconnue pour ce qu’elle est : une religion authentique en pleine croissance, tournée vers l’autre et apportant sa contribution à l’amélioration de la société.
(Plus d’infos sur http://www.scientologynews.org/ )
Cette Association UNADFI, financée à coup de centaines de milliers d’euros par les contribuables, fait déjà l’objet actuellement de 6 procédures judiciaires pour abus de droit. Elle a été à la source de la désinformation qui a permis autant de violations des droits fondamentaux des scientologues dans notre pays. La reconnaissance de son illégitimité par la Cour d’Appel aurait dû mener à son éviction du procès bien avant les débats, comme l’avait, à juste titre, soutenu l’Eglise. La juridiction d’appel a choisi de maintenir cette partie qu’elle savait illégitime jusqu’au bout, afin de pouvoir justifier sa décision, pour finalement être obligée de l’évincer. La seule personne interrogée dans ce procès est Catherine Picard, Présidente de l’UNADFI, alors que la Cour savait pertinemment qu’elle allait devoir la déclarer irrecevable à la fin. C’est cela qui a permis à Catherine Picard, de répandre illégitimement mensonges et rumeurs sur l’Eglise de Scientologie pendant les débats.
Face à ce traitement irresponsable et discriminatoire de personnes sur le fondement de leurs croyances, l’Eglise de Scientologie annonce qu’elle va entamer une grande campagne de communication dans notre pays.
Dès demain, une édition spéciale du Magazine Ethique et Liberté va être distribuée dans toutes les grandes villes de France à plus de 100 000 exemplaires. Cette édition titre « Qui sont les scientologues », afin que les Français puissent enfin savoir la vérité sur ces gens qui sont des citoyens responsables, travailleurs, et qui depuis 50 ans travaillent à l’amélioration de notre société sans jamais ne rien demander en retour. Suivront d’autres actions visant à faire connaître l’ensemble des actions caritatives menées par les scientologues dans notre pays, que ce soit dans le domaine des Droits de l’Homme, de l’information et de la prévention sur les dangers des drogues, ou de la restauration des valeurs morales face à une criminalité inquiétante.
L’Eglise de Scientologie exerce en France depuis plus de 50 ans, elle aide activement plus de 45 000 fidèles et sympathisants dans l’hexagone, elle soutient et est à l’origine de la plus importante campagne de prévention sur les dangers des drogues dans le pays, et ses programmes d’éducation sur les droits de l’homme sont reconnus dans le monde entier comme les plus importants et les plus efficaces à l’heure actuelle. Elle compte plus de 10 millions de fidèles dans le monde, avec plus de 10 000 Eglises, missions et groupes dans plus de 167 pays. Pour répondre à la demande, chaque mois, de nouvelles Eglises de Scientologie s’ouvrent dans le monde. Depuis Novembre, 3 nouvelles Eglises de plus de 8000 mètres carrés ont ouvert leurs portes : à Inglewood, dans le quartier afro américain de Los Angeles, à Hambourg, et ces derniers jours à Sacramento. A cette occasion, dans son discours d’ouverture de l’Eglise, le Maire de Sacramento Kevin Johnson a déclaré : « Cette Eglise n’est pas juste un bâtiment pour vous, c’est un bâtiment pour la communauté. C’est un bâtiment qui va nous aider à revitaliser le Centre ville de Sacramento. » Dans le monde entier, l’Eglise de Scientologie est reconnue pour ce qu’elle est : une religion authentique en pleine croissance, tournée vers l’autre et apportant sa contribution à l’amélioration de la société.
(Plus d’infos sur http://www.scientologynews.org/ )
L’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre considère que la décision rendue est totalement faussée et inéquitable car elle est le résultat d’une sorte de procès fantôme, où de nombreuses irrégularités et violations des droits fondamentaux des scientologues se sont succédées. Elle annonce qu’elle se pourvoit immédiatement en cassation contre l’arrêt de la Cour d’Appel.
L’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre, ainsi que l’ensemble des avocats qui assuraient la défense des personnes mises en cause ont quitté ce procès avant même les débats au fond, en raison des nombreuses violations des droits de la défense, du droit à un procès équitable, et du sentiment de doute sur l’indépendance de la justice ressenti tout au long de ce procès, suite à une forte ingérence du pouvoir exécutif dans le pouvoir judiciaire.
• Les seules réquisitions écrites du parquet, rendues après 8 ans d’investigation, par un procureur de Paris, sont des réquisitions de non-lieu, estimant que ni l’Eglise, ni la librairie, ni les scientologues mis en cause n’avaient commis d’infraction pendant l’exercice de leur ministère. Le seul changement qui s’est produit depuis, qui pourrait expliquer ce revirement tardif et incohérent du parquet sur le même dossier vide, est une ingérence revendiquée par la Miviludes auprès du parquet sur les dossiers en cours.
• Avant l’ouverture des débats, l’Eglise avait dénoncé des pressions de la part du Ministère de la justice sur les magistrats, pressions qui ont été revendiquées après-coup expressément par la Directrice des Affaires Criminelles et des Grâces. La circulaire à l’origine de ces pressions fait actuellement l’objet d’une plainte devant le Rapporteur Spécial sur l’Indépendance des magistrats de l’ONU.
• Pendant les audiences, alors qu’une partie civile manifestement irrecevable cherchait désespérément à polluer les débats sur des faits qu’elle ne connaissait pas directement, en répandant rumeurs et mensonges sur la religion scientologue, la Cour a refusé de laisser les avocats de la défense avoir accès au dossier au moment ou il apparaissait que cette consultation aurait pu permettre d’écarter justement cette association illégitimement constituée partie civile, d’après la défense. Cette consultation était aussi nécessaire parce que des pièces favorables à la défense ont disparu mystérieusement du dossier. L’Eglise a du déposer une plainte pour vol, actuellement pendante devant le TGI de Paris.
• Un des prévenus scientologues qui a demandé expressément à obtenir l’assistance d’un avocat pour remplacer celui qui avait quitté le procès et assurer sa défense, s’est vu opposer une fin de non recevoir, au mépris des droits les plus fondamentaux inhérents à notre Etat de droit.
• Finalement, dernière irrégularité en date, la Cour d’Appel a rendu son délibéré alors qu’un pourvoi en Cassation est en cours pour excès de pouvoir, et que tant que celui-ci n’a pas fait l’objet d’une décision de la Cour de Cassation, la Cour d’Appel ne peut pas, d’après la loi, statuer sur le fond de l’affaire.
L’Association estime que la décision d’aujourd’hui est dans la même lignée que ce qu’elle vient d’énumérer, et forme le vœu que l’équité de la justice tel que protégée par notre Constitution redevienne une réalité pour tous les citoyens de notre pays, scientologues inclus.
L’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre annonce d’ores et déjà se pourvoir en Cassation. Elle étudiera attentivement l’arrêt de la Cour d’appel et donnera ses conclusions dans les jours prochains.
L’Eglise de Scientologie exerce en France depuis plus de 50 ans, elle aide activement plus de 45 000 fidèles et sympathisants dans l’hexagone, elle soutient et est à l’origine de la plus importante campagne de prévention sur les dangers des drogues dans le pays, et ses programmes d’éducation sur les droits de l’homme sont reconnus dans le monde entier comme les plus importants et les plus efficaces à l’heure actuelle. Elle compte plus de 10 millions de fidèles dans le monde, avec plus de 9000 Eglises, missions et groupes dans plus de 165 pays. Pour répondre à la demande, chaque mois, de nouvelles Eglises de Scientologie s’ouvrent dans le monde. Depuis Novembre, 3 nouvelles Eglises de plus de 8000 mètres carrés ont ouvert leurs portes : à Inglewood, dans le quartier afro américain de Los Angeles, à Hambourg, et ces derniers jours à Sacramento. A cette occasion, dans son discours d’ouverture de l’Eglise, le Maire de Sacramento Kevin Johnson a déclaré : « Cette Eglise n’est pas juste un bâtiment pour vous, c’est un bâtiment pour la communauté. C’est un bâtiment qui va nous aider à revitaliser le Centre ville de Sacramento. » Dans le monde entier, l’Eglise de Scientologie est reconnue pour ce qu’elle est : une religion authentique en pleine croissance, tournée vers l’autre et apportant sa contribution à l’amélioration de la société.
(Plus d’infos sur http://www.scientologynews.org/ )
• Les seules réquisitions écrites du parquet, rendues après 8 ans d’investigation, par un procureur de Paris, sont des réquisitions de non-lieu, estimant que ni l’Eglise, ni la librairie, ni les scientologues mis en cause n’avaient commis d’infraction pendant l’exercice de leur ministère. Le seul changement qui s’est produit depuis, qui pourrait expliquer ce revirement tardif et incohérent du parquet sur le même dossier vide, est une ingérence revendiquée par la Miviludes auprès du parquet sur les dossiers en cours.
• Avant l’ouverture des débats, l’Eglise avait dénoncé des pressions de la part du Ministère de la justice sur les magistrats, pressions qui ont été revendiquées après-coup expressément par la Directrice des Affaires Criminelles et des Grâces. La circulaire à l’origine de ces pressions fait actuellement l’objet d’une plainte devant le Rapporteur Spécial sur l’Indépendance des magistrats de l’ONU.
• Pendant les audiences, alors qu’une partie civile manifestement irrecevable cherchait désespérément à polluer les débats sur des faits qu’elle ne connaissait pas directement, en répandant rumeurs et mensonges sur la religion scientologue, la Cour a refusé de laisser les avocats de la défense avoir accès au dossier au moment ou il apparaissait que cette consultation aurait pu permettre d’écarter justement cette association illégitimement constituée partie civile, d’après la défense. Cette consultation était aussi nécessaire parce que des pièces favorables à la défense ont disparu mystérieusement du dossier. L’Eglise a du déposer une plainte pour vol, actuellement pendante devant le TGI de Paris.
• Un des prévenus scientologues qui a demandé expressément à obtenir l’assistance d’un avocat pour remplacer celui qui avait quitté le procès et assurer sa défense, s’est vu opposer une fin de non recevoir, au mépris des droits les plus fondamentaux inhérents à notre Etat de droit.
• Finalement, dernière irrégularité en date, la Cour d’Appel a rendu son délibéré alors qu’un pourvoi en Cassation est en cours pour excès de pouvoir, et que tant que celui-ci n’a pas fait l’objet d’une décision de la Cour de Cassation, la Cour d’Appel ne peut pas, d’après la loi, statuer sur le fond de l’affaire.
L’Association estime que la décision d’aujourd’hui est dans la même lignée que ce qu’elle vient d’énumérer, et forme le vœu que l’équité de la justice tel que protégée par notre Constitution redevienne une réalité pour tous les citoyens de notre pays, scientologues inclus.
L’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre annonce d’ores et déjà se pourvoir en Cassation. Elle étudiera attentivement l’arrêt de la Cour d’appel et donnera ses conclusions dans les jours prochains.
L’Eglise de Scientologie exerce en France depuis plus de 50 ans, elle aide activement plus de 45 000 fidèles et sympathisants dans l’hexagone, elle soutient et est à l’origine de la plus importante campagne de prévention sur les dangers des drogues dans le pays, et ses programmes d’éducation sur les droits de l’homme sont reconnus dans le monde entier comme les plus importants et les plus efficaces à l’heure actuelle. Elle compte plus de 10 millions de fidèles dans le monde, avec plus de 9000 Eglises, missions et groupes dans plus de 165 pays. Pour répondre à la demande, chaque mois, de nouvelles Eglises de Scientologie s’ouvrent dans le monde. Depuis Novembre, 3 nouvelles Eglises de plus de 8000 mètres carrés ont ouvert leurs portes : à Inglewood, dans le quartier afro américain de Los Angeles, à Hambourg, et ces derniers jours à Sacramento. A cette occasion, dans son discours d’ouverture de l’Eglise, le Maire de Sacramento Kevin Johnson a déclaré : « Cette Eglise n’est pas juste un bâtiment pour vous, c’est un bâtiment pour la communauté. C’est un bâtiment qui va nous aider à revitaliser le Centre ville de Sacramento. » Dans le monde entier, l’Eglise de Scientologie est reconnue pour ce qu’elle est : une religion authentique en pleine croissance, tournée vers l’autre et apportant sa contribution à l’amélioration de la société.
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La cérémonie du "Changement de la Rose" (Cambio de la Rosa) est un hommage officiel rendu par le Ministre de la culture du Guatémala aux plus grands acteurs de la Paix. Le 6 Janvier 2012, cet hommage était rendu Officiellement par le ministère à la Fondation L. Ron Hubbard.
Extrait du discours du Ministère de la culture :
"En reconnaissance de son travail de promotion et de diffusion de la paix mondiale, à travers ses programmes et projets visant à promouvoir la coexistence pacifique et l'harmonie sociale, ainsi qu'à fournir une plateforme pour le développement humain dans la poursuite du bonheur, est accordée cette haute distinction à la Fondation L. Ron Hubbard."
Sur le site du Ministère de la culture, en espagnol : Cliquez ici
Extrait du discours du Ministère de la culture :
"En reconnaissance de son travail de promotion et de diffusion de la paix mondiale, à travers ses programmes et projets visant à promouvoir la coexistence pacifique et l'harmonie sociale, ainsi qu'à fournir une plateforme pour le développement humain dans la poursuite du bonheur, est accordée cette haute distinction à la Fondation L. Ron Hubbard."
Sur le site du Ministère de la culture, en espagnol : Cliquez ici
07/01/2012
Voici une nouvelle vidéo sur la scientologie qui passe actuellement sur les télés américaines (je vous ai mis la version française).
Le dernier clip des jive aces, j'adore...
10/12/2011
Pour ceux qui ont regardé la rediffusion de "Scientologie, la Vérité sur un mensonge" sur France 2 à minuit l'autre soir, la vidéo "La Contre enquête" est disponible ici : http://www.ericroux.com/Scientologie-la-verite-sur-un-mensonge-la-contre-enquete_a105.html
24/11/2011
La manifestation suite aux réquisitions du parquet le 24 novembre, devant le Palais de Justice de Paris.
Hier mardi, environ 350 scientologues se sont déplacés devant le Palais de Justice de Paris pour protester contre une justice aux ordres et un procès inéquitable.

La manifestation qui a duré deux heures était organisée par le Comité Français des Scientologues contre la Discrimination.
Communiqué du 17 novembre 2011
Aujourd’hui, les avocats de l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre ont choisi, en leur âme et conscience, de quitter ce procès dans lequel ils ont estimé ne plus pouvoir exercer leur profession d’auxiliaires de justice.
L’Association, à son tour, tient à faire savoir qu’elle ne compte plus cautionner de sa présence un procès dont elle estime qu’il est absolument inéquitable et dans lequel les droits les plus élémentaires lui ont été refusés.
Alors que la défense a souhaité, comme c’est la procédure habituelle, pouvoir examiner des pièces au dossier, afin de déterminer si l’UNADFI pouvait réellement se prévaloir du statut de partie civile au procès, ce droit le plus élémentaire lui a été arbitrairement dénié, et la Cour a refusé que ces pièces puissent être examinées contradictoirement, protégeant ainsi indûment une partie au procès face à la demande légitime d’une autre, au mépris des règles procédurales dont peuvent se prévaloir tous les citoyens.
Cet énième incident intervient alors que l’Eglise avait dénoncé au début du procès une ingérence du Ministère de la justice dans cette affaire, ainsi qu’une circulaire donnant instruction aux magistrats de travailler « en partenariat » avec l’UNADFI, une association connue pour sa volonté de combat contre la religion scientologue. La Cour s’était pourtant défendue d’être partiale et soumise à cette circulaire.
Face à ce qu’elle considère comme une justice indigne de notre pays, l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre a choisi de ne plus cautionner de sa présence un procès qui, de manière flagrante, est un procès dont les tenants et les aboutissants sont faussés.
La Scientologie est une religion qui existe en France depuis plus de cinquante ans, elle compte environ 45000 fidèles dans l’hexagone, 12 millions dans le monde et plus de 9000 Églises missions et groupes à travers les 5 continents. Elle est une religion dont les droits sont reconnus à ce titre à la fois par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, mais aussi dans l’ensemble des pays démocratiques européens (Espagne, Italie, Allemagne, Suède, etc.).
L’Association, à son tour, tient à faire savoir qu’elle ne compte plus cautionner de sa présence un procès dont elle estime qu’il est absolument inéquitable et dans lequel les droits les plus élémentaires lui ont été refusés.
Alors que la défense a souhaité, comme c’est la procédure habituelle, pouvoir examiner des pièces au dossier, afin de déterminer si l’UNADFI pouvait réellement se prévaloir du statut de partie civile au procès, ce droit le plus élémentaire lui a été arbitrairement dénié, et la Cour a refusé que ces pièces puissent être examinées contradictoirement, protégeant ainsi indûment une partie au procès face à la demande légitime d’une autre, au mépris des règles procédurales dont peuvent se prévaloir tous les citoyens.
Cet énième incident intervient alors que l’Eglise avait dénoncé au début du procès une ingérence du Ministère de la justice dans cette affaire, ainsi qu’une circulaire donnant instruction aux magistrats de travailler « en partenariat » avec l’UNADFI, une association connue pour sa volonté de combat contre la religion scientologue. La Cour s’était pourtant défendue d’être partiale et soumise à cette circulaire.
Face à ce qu’elle considère comme une justice indigne de notre pays, l’Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre a choisi de ne plus cautionner de sa présence un procès qui, de manière flagrante, est un procès dont les tenants et les aboutissants sont faussés.
La Scientologie est une religion qui existe en France depuis plus de cinquante ans, elle compte environ 45000 fidèles dans l’hexagone, 12 millions dans le monde et plus de 9000 Églises missions et groupes à travers les 5 continents. Elle est une religion dont les droits sont reconnus à ce titre à la fois par la Cour Européenne des Droits de l’Homme, mais aussi dans l’ensemble des pays démocratiques européens (Espagne, Italie, Allemagne, Suède, etc.).
04/11/2011
Avant-hier soir, j'étais invité à la Grande Edition sur Itélé. L'interview :
01/11/2011
J'étais dimanche en direct sur M6 avec Fogiel dans Face à l'actu.

Communiqué de presse du 24 Octobre 2011
Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre
L'Église de Scientologie dépose plainte contre la France auprès du Rapporteur spécial des Nations Unies sur l'indépendance des juges en raison de mesures gouvernementales privant les minorités religieuses de leur droit à un procès équitable.
Association Spirituelle de l’Eglise de Scientologie-Celebrity Centre
L'Église de Scientologie dépose plainte contre la France auprès du Rapporteur spécial des Nations Unies sur l'indépendance des juges en raison de mesures gouvernementales privant les minorités religieuses de leur droit à un procès équitable.
L'Association Spirituelle de l'Eglise de Scientologie-Celebrity Centre a déposé une plainte auprès du Rapporteur spécial des Nations Unies sur l'indépendance des juges et des avocats concernant les mesures répressives adoptées par le gouvernement français pour priver les minorités religieuses du droit à un procès équitable. Le dernier exemple en date de ces mesures répressives est une circulaire du Ministère de la justice visant la Scientologie et d'autres minorités religieuses publiée le 19 Septembre 2011. Cette circulaire porte atteinte aux droits fondamentaux à la liberté de religion et de conviction et ne respecte pas le devoir de neutralité de l’Etat en matière de religion. C'est une atteinte flagrante et condamnable aux droits des minorités religieuses en France. Le 19 Septembre 2011, la Directrice des Affaires criminelles et des grâces du Ministère de la justice a publié une nouvelle circulaire concernant les « dérives sectaires » à l’attention des procureurs et des présidents des Tribunaux de Grande Instance et des Cours d'Appel. Cette circulaire constitue une violation flagrante du devoir de neutralité de l’Etat en matière de religion. L'Eglise a déposé une plainte auprès du Rapporteur spécial sur l'indépendance des juges et des avocats des Nations Unies, condamnant l'action du gouvernement français. Cette circulaire prétend donner des instructions aux magistrats concernant les poursuites à mener à l’encontre des minorités religieuses. Elle contient des jugements de valeur sur les pratiques de ces minorités religieuses qui prédéterminent l'issue des affaires traitées par les magistrats qui suivraient ces instructions. Ceci viole le droit à un procès équitable pour toute personne ou mouvement soumis aux directives données dans la circulaire, et fausse l'issue de toute procédure judiciaire les concernant. Cette circulaire vise de manière intolérable à prévenir les magistrats contre les membres de minorités religieuses. En outre, cette circulaire viole le droit à la liberté de religion garanti par l'article 18 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP) en imposant des restrictions injustifiées à ce droit. Le ciblage des confessions minoritaires dans le cadre de ces poursuites viole également l'interdiction de la discrimination sur la base de la religion énoncée aux articles 2 et 26 du PIDCP. Le droit d'être protégé contre toute discrimination est particulièrement important pour les membres des mouvements religieux ciblés qui font l'objet de dispositions spéciales contre les « mouvements sectaires », et se voient refuser la même protection de la liberté de religion que celle assurée à d'autres religions. Cette circulaire n'est que la dernière d'une série de mesures mises en œuvre par le Ministère de la justice en collaboration avec la MIVILUDES, pour saper l'indépendance du pouvoir judiciaire et le droit à un procès équitable pour les minorités religieuses en France. Les mesures mises en œuvre par le gouvernement français pour « lutter contre » les religions minoritaires dans le processus judiciaire représentent un niveau de discrimination sans précédent et violent les normes internationales relatives aux droits de l’homme. Ces mesures ont perverti l'ensemble du système judiciaire et détruit les garanties d’indépendance de la justice en France dans les affaires concernant les minorités religieuses et leurs adhérents. L'Eglise a demandé une aide internationale pour remédier à cette discrimination institutionnalisée. Ces mesures répressives détaillées dans la lettre d’accompagnement ci-jointe ne peuvent être admises au regard des principes fondamentaux des Nations unies sur l'intégrité de l’appareil judiciaire, du Projet de Bangalore 2001 sur un code de déontologie judiciaire, des Principes directeurs applicables aux magistrats du parquet, et des articles 2, 14, 15, 18 et 26 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques. L'Église de Scientologie existe en France depuis plus de 50 ans, compte plus de 10 millions d'adeptes dans le monde et plus de 9 000 églises, missions et groupes sur les 5 continents. Elle réaffirme son droit à un procès équitable et le droit à la liberté de conscience pour tous. |
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